"Als Gregor Samsa eines Morgens aus unruhigen Träumen erwachte, fand er sich in seinem Bett zu einem ungeheueren Ungeziefer verwandelt." ... Und als er feststellt, dass es sich nicht um einen Alptraum handelt, nimmt das Schicksal seinen Lauf. Trotz seines friedfertigen und unschuldigen Lebens als Ungeziefer wird er von seiner Familie verstoßen und schließlich in den Tod getrieben. Die Verwandlung ist eine düstere Metapher auf das Wesen der Menschheit.Eric Corbeyran und Richard Horne haben diesen ebenso berühmten wie zeitlosen Klassiker der deutschen Literatur als Graphic Novel adaptiert. Die Erzählung hält sich eng an den Originaltext Kafkas, und die Zeichnungen illustrieren diese tiefbewegende Geschichte stimmungsvoll und innovativ.
Né à Marseille en 1964, Corbeyran vit à Bordeaux depuis 1987. Après avoir travaillé comme animateur de centre de vacances puis comme graphiste free-lance dans la publicité, il fait ses premiers pas dans la bd en signant le scénario de l‘album Les Griffes du Marais (Vents d’Ouest), publié en janvier 1990. 180 albums plus tard, apprécié des aficionados comme du grand public, il est aujourd’hui l’un des scénaristes français les plus en vue. Voyageur immobile, curieux de tout, avide d’images, de rencontres et d’expériences nouvelles, Corbeyran s’intéresse à (presque) tous les sujets et s’attache à explorer (presque) tous les genres, du polar (Garrigue) à la science fiction (Le Régulateur) en passant par l’aventure (Nelson Lobster), le thriller (Pulsions), l’humour (Kid Korrigan) et l'heroïc fantasy (Weëna). Le succès arrive en 1997 avec Le Chant des Stryges (Delcourt), dessiné par Richard Guérineau, un récit dense, complexe et tentaculaire qui jette une lumière inquiétante sur les origines de l'humanité en même temps qu'il pose les bases du renouveau du thriller fantastique en bande dessinée. En 1999, l'association "BD Boum" lui offre la possibilité d'orchestrer une œuvre collective autour de deux univers très particuliers : la prison et la surdité. 4 recueils de récits courts en noir et blanc donnant la parole aux détenus et aux sourds verront ainsi le jour sous la plume de dessinateurs connus (Margerin, Juillard, Mézières, Cabanes, Larcenet, Davodeau, Baudoin...) et moins connus. En 2001, la presse s'intéresse à son travail et, à la demande de la rédaction du mensuel "D.Lire", il crée la série Zélie et Compagnie (Bayard), dessinée par David de Thuin. En 2003, suite à sa rencontre avec le peintre Jean-Pierre Ugarte, il écrit Le Territoire (Delcourt), une fresque fantastique sur le thème de la mort, de l'amour et de la folie, dessinée par Espé. En 2003 toujours, c'est en compagnie du chercheur en informatique Achille Braquelaire qu'il signe Imago Mundi (Dargaud), une série de thrillers scientifiques dessinée par Luc Brahy. En 2005, sa rencontre avec le politicien Nicolas Hamm l'amène à créer La Conjuration d'Opale (Dargaud), une fable épique et ésotérique sur le thème du devenir de l'humanité, sompueusement mis en images par Grun. Si le fantastique occupe une place de choix dans sa bibliographie, Corbeyran n'hésite cependant pas à s’aventurer sur des terrains plus réalistes avec des récits intimistes et émouvants comme Lie-de-Vin ou Rosangella (Dargaud), dessinés par son complice Olivier Berlion (avec il a réalisé plus d'une vingtaine d'albums). Alors qu'une grande partie de sa production est étiquetée "ados - adulte", Corbeyran aime également s’adresser aux plus jeunes, comme en témoignent ses séries Le Cadet des Soupetard (Dargaud) et Sales Mioches ! (Casterman), toutes deux dessinées par Berlion, et plus récemment Natty et Okhéania (Dargaud) dessinées respectivement par Melvil et Picard. En 2006, les amateurs de feuilletons populaires plébiscitent La Loi des 12 Tables (Delcourt), dessiné par Défali, véritable défi scénaristique et graphique (12 épisodes de 30 pages, regroupés en 6 volumes et réalisés en 12 mois : un record !) et, en 2008, ils saluent l'originalité de l'ambitieux projet Uchronie[s] (Glénat) qui revisite la ville de New-York à travers le prisme de 3 réalités élaborées par Chabbert, Tibery et Défali. Corbeyran a obtenu le prix Jacques Lob pour l'ensemble de son oeuvre en 2005. De nombreuses autres récompenses jalonnent sa carrière : prix du meilleur album jeunesse à Blois (1996), Bulle d'Or du meilleur scénario à Brignais (1997), meilleur album à Chambéry (2000) et à Cognac (2007), prix Interfestival (2000), prix Extrapole (2000), prix des libraires Canal BD (2000), prix Tournesol (2002), prix Jules Verne (2005), Coup de Coeur à Sierre (Suisse), meilleur album étranger à Sobreda (Portugal), et, tout récemment, médaille d'argent de l'International Manga Award (Japon).
Το δωμάτιο του Γκρέγκορ είναι λιγότερο σκοτεινό από το σπίτι του, που με τη σειρά του είναι λιγότερο κλειστοφοβικό απ' την πόλη.. Έξω από την πόλη δεν υπάρχει τίποτε, παρά απόλυτο σκοτάδι.
Γκρέγκορ, δεν έπρεπε να σηκωθείς από το κρεβάτι, δεν έπρεπε να συμμορφωθείς με την όψη εκείνης της πραγματικότητας. Ας θεωρούσες τη μεταμόρφωση σου σε άνθρωπο ως έναν ακόμη εφιάλτη, που πέρασε με το ξύπνημα..
Auch wenn ich nicht der größte Freund von Klassikern bin, so mag ich sie doch häufig in Form einer Graphic Novel. In diesem Fall ist dies aber leider nicht der Fall. Ich kenne das Original und die Graphic Novel kommt da leider nicht heran. Auch der Zeichenstil gefällt mir leider durch seine Rohheit überhaupt nicht.
Maybe.. Kafka is just not my thing. Obviously I read it in German but ooohh myy god insufferable writing. But Im glad that Ive read it, I read a couple of other short works of him too (bc I have a book with multiple stories in it) but ehh Not my fave.
Une assez bonne nouvelle qui traite plusieurs sujets et nous fait faire des réflexions sur les rapports sociaux et familiaux, sur le travail et bien d'autre sujets.
Eine schöne Illustrierte Zusammenfassung von Kafkas "Die Verwandlung". Besonders die Abschnitte, in denen Kafkas Prosa wortwörtlich übernommen wurde, zeigen die Wertigkeit dieser Graphic Novel. Die Illustrationen sind dunkel gehalten und geben damit Kafkas düsterer Geschichte den perfekten Rahmen.
Das ist eine coole Version des Klassikers gelesen. Die Zeichnungen waren wirklich lebhaft und passend, Originalzeilen wurden verwendet, was ich auch sehr großartig fand. Alles in allem eine nette Erfahrung!
"Die Verwandlung" ist wirklich eine schöne Tragödie. Kafkas sachliche Art, Gregors Leben als "Ungeziefer" zu beschreiben, erlaubt es dem Leser, sich seine eigenen Gedanken über ihn und seine Familie zu machen. Ich mochte die Ungeheuerlichkeit dieser Erzählung, sich in eine Kakerlake zu verwandeln, als Analogie für das Erleben von Entfremdung. Auch wenn niemand eine solche körperlich veränderte Erfahrung gemacht hat, so ist es doch ein universelles Thema, dass wir uns - entweder offen oder heimlich - sogar von unserer eigenen Familie verlassen fühlen können und manchmal auch fühlen.
Was mich an dieser Erzählung beeindruckt hat, ist die starke moralische und politische Botschaft, die es vermittelt. Gregor wird durch seinen neuen Körper isoliert, aber er ist im Grunde derselbe Mensch wie vorher, doch mit der einfachen Veränderung seines Aussehens zu etwas Unmenschlichem ändert sich die Haltung der ganzen Welt ihm gegenüber. Er wird von einer Person zu einem Objekt und wird mit Verachtung, Geringschätzung oder einfach als Ärgernis betrachtet.
Die Geschichte wirft die faszinierende Frage auf, wie die Gesellschaft mit denjenigen umgeht, die unserer Meinung nach keine Menschenwürde verdienen (Menschen anderer Ethnien, Behinderte, Embryos, ältere Menschen usw.). Auch wenn dies eine eher zynische Sicht auf die Art und Weise ist, wie wir miteinander umgehen, fand ich Kafkas Erzählung eine inspirierende Geschichte, die uns zu mehr "Menschlichkeit" ermutigen kann.
Ich schätze, die ersten Zeilen werden darüber entscheiden, ob man weiterliest oder etwas Zahmeres in die Hand nimmt. Es ist verrückt, es zieht sich an einigen Stellen (vor allem am Ende), aber insgesamt lohnt es sich, weil es a) so (sub)kulturell relevant ist und b) eine so überwältigende Botschaft und Schönheit in seiner Fremdartigkeit hat.
Très belle oeuvre, Kafka a vraiment une manière de dire les choses qui me touche personnellement. Gregor qui donnait tout pour sa famille qui se fait mettre à l'écart, battre, abandonné dans une solitude infernale pour seul fait qu'il a changer d'apparence et qu'il n'est plus en capacité de "servir" à sa famille. On peut voir cette métamorphose comme un changement, une révélation sur un membre d'une famille qui se fait mettre à l'écart, traiter comme s'il avait la peste pour quelque chose qu'il ne peut changer (homosexualité, addiction ou autre). Aussi la réaction du gouvernement face à l'incapacité d'une personne à produire quelque chose d'"utile" à la société (sans-abri, chômeur, personne handicapée etc). Incroyable livre avec des citations marquantes. Je suis éternellement reconnaissante envers l'ami de Kafka qui a publié ses oeuvres à sa mort au lieu de les détruire comme il le voulait. J'aimerai qu'il sache à quel point ses ouvrages ont servis aux autres.
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Je n'ai pas spécialement d'avis sur ce livre, Il n'est pas mauvais mais il n'est pas excellent non plus. Ce que j'ai apprécié c'est surtout, la manière dont l'histoire est narré, le mélange entre dialogue pensée et narration ainsi que le choix des mots. J'ai moin aimé l'histoire en elle-même, même si elle fait découvrir un aspect différent des choses elle reste pour moi trop peu mouvementée, Je me suis un peu lassé en le lisant, ce n'est pas trop mon style de lecture...
Am 3. Juni 1924 verstarb Franz Kafka. Es ist schon ewig her, dass ich seine Erzählung über die Verwandlung von Gregor Samsa in ein Insekt gelesen habe. In Kafka Jahr 2024,100 Jahre nach seinem Tod sind viele von euch motiviert seine Werke noch mal in die Hand zu nehmen. Mich zieht nicht viel zu ihm, doch diese Graphic Novel hat mein Interesse geweckt.
Der verwandelte Samsa wird hier als Schabe dargestellt. Wie gewohnt macht er seiner Familie erst Angst, stößt sie ab um dann von ihr irgendwann ignoriert zu werden.
Die grafische Darstellung hat entsprechend der Epoche einen leicht expressionistischen Charakter. Vorherrschend ist schwarz und Weiß. Auch ein paar Brauntöne sind vorhanden. Insgesamt war mir das sehr düster. Passt vielleicht zur Geschichte und hat etwas. So richtig Gefallen konnte ich aber nicht dran finden. Die textliche Adaption ist sehr nah am Original mit vielen Zitaten. Über die Interpretation von Kafkas Werk werde ich mich hier nicht groß auslassen. Da werdet ihr im Internet massenhaft fündig. Nur so viel: Ich glaube, er hat hier sehr vieles aus seiner Kindheit verarbeitet und wollte besonders das schlechte Verhältnis zu seinem Vater darstellen.
Für alle, die eine sehr kurze und besondere Art der Zusammenfassung des Textes haben möchten, ist das eine gute Möglichkeit
„Als Gregor Samsa eines Morgens erwachte, fand er sich in seinem Bett zu einem ungeheuren Ungeziefer verwandelt.� (Zitat Seite 5)
Thema und Inhalt Gregor Samsa erhält durch seine Tätigkeit als reisender Tuchhändler seine Familie, das sind seine Eltern und seine Schwester. Nach einem unruhigen Traum erwacht er als riesiges Ungeziefer mit einem dicken Rückenpanzer und dünnen Beinchen, hält dies zunächst immer noch für einen Traum. Doch rasch stellt er fest, dass er sich tatsächlich verwandelt hat, es ist sein Bett und sein Zimmer. Wie soll er dies seiner Familie beibringen, auch sein Chef fragt schon ungeduldig nach ihm. Eine beklemmende, traurige Geschichte, die viele Deutungsmöglichkeiten zulässt.
Gestaltung Eric Corbeyran bleibt bei seiner Umsetzung von Kafkas bekannter Erzählung als Graphic Novel nahe am Originaltext und fängt so auch die ursprüngliche Stimmung der Geschichte perfekt ein, welche durch Hornes Illustrationen beeindruckend umgesetzt und vertieft wird.
Fazit Eine beklemmende, aber auch sehr berührende Version von Kafkas bekannter Erzählung von einem Menschen, der sich über Nacht in eine große Schabe verwandelt, eine großartige Ergänzung zu Franz Kafkas Werk.
déjà pour vous mettre dans le contexte j'ai dû lire ce livre pour les cours, ce qui fait que j'aime déjà moins le livre avant de commencer.
même si normalement les livres pour les cours finissent en 3 étoile car au final ça passe. mais celui là ça ne passait pas du tout.
j'avais l'impression que je n'avançait pas dans le livre. je pourrais lire 1h ils ne se serait rien passé.
les personnages étaient nul, et n'avais presque aucune personnalité. ils étaient là pour être la.
ensuite, comment dire que suivre l'histoire d'un cafard dépressif n'est pas très chouette, même ennuyeux je dirais.
et au final y avait presque pas d'action. Oui j'aurais dû m'en douter car ce n'est pas spécialement un livre d'action mais il ne se passait rien. juste un cafard qui fait le tour de sa chambre.
Knew that I was gonna love it from the start and was not disappointed. Still, I found it a bit hard to connect the meaning of the book and that it should represent his relationship to his father in real life to the book as a few points just didn’t fit. BUT after i read the epilogue, everything made sense, because this explained that it could be directly correlated to kafkas interest in Jews and the religion at the time he wrote this book. Gregor stands for the parasite, the thing people want to get rid of, who is taking all the money without doing anything, being lazy and annoying and gross for people to look at, slowly dissolving in the shadows of the outside world. Basically everything Jews and the Jewish religion is being accused of at the time. And - he was absolutely right, predicting the real downfall of Jews at that time and later, in the second WW. Absolutely amazing. 5/5
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Ich bin ehrlich gesagt recht unschlüssig, was ich von dieser Erzählung halten soll. Die schiere Absurdität der beschriebenen Situation hat zwar mein Interesse geweckt und mich zum Denken angeregt, aber ich habe selten so lange für nur etwa 70 Seiten Text gebraucht. Kafkas Schreibweise ist sehr anstrengend und zumindest mir fiel es schwer der Geschichte immer ganz zu folgen. Fertig gelesen habe ich es nur, damit ich sagen kann, dass ich es mal gelesen habe. Ein Stern ist fürs mich zum Nachdenken bringen, der zweite für die wunderbaren Interpretationen und Inspirationen anderer Künstler, die Werk und Autor hervor gebracht haben
While on the one hand, Kafka's short story is humorous in it's dry absurdity, it is also tragic and disturbing. Almost blasé, Kafka describes the mysterious and completely inexplicable transformation of Gregor Samsa into a large beetle of some kind and the consequences of this event for Samsa and his family. I started reading, laughing at the deadpan style with which Kafka tells this bizarre story, but by the end felt a little bit of loss at Gregor's helpless inability to continue to support his family and give expression to all his altruistic desires. Worthy of some real analysis.
La métamorphose est une œuvre bizarre quoique interressante et chagrineuse. Il est cependant dommage qu'il n'y pas d'intrigue. Le fils se transforme en cafard et finit pas mourir de faim dans sa chambre. Plus encore, la famille ne se lamantera jamais d'avoir négliger Gregor, la mère se remet vite de la mort de son seul fils et la fille impitoyable se trouve enfin félicitée pour le seul fait de sa jeune beauté. Le tout est très réaliste et en dit long sur la condition humaine. Quelle œuvre intriguante.
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ein klassiker, der für mich kafkas eigene lebensgeschichte in der familie symbolisiert � als ausgestoßener mit komplexer beziehung zum vater. ich lese den vater hier allerdings gar nicht unbedingt als „bösewicht�, sondern eher die schwester, die ihn schlussendlich versucht, loszuwerden. man könnte sich auch fragen, ob die erzählung hinterfragt, was passiert, wenn man aus der familiären/gesellschaftlichen grundordnung herausfällt und nicht mehr funktioniert. ich bezweifle, dass man sich dafür in einen käfer verwandeln muss.
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Bence derin bir anlamı olan ve herkesin anlayamayacağı bir kitap. Ben 3. Kez okudum ve bu sefer daha iyi anladım. Bu kez Okul için okudum sınıftaki çoğu kişi çok kötü,saçma vs. Yorumları yapıyordu bazı insanlar daha çok kitap okumalı :) her neyse ben beğendim insanlar için işe yaramaz olduğunuzda değerinizin nasılda yok olduğunu, nankörlük ve dışlanmak duygularını okurken rahatça hissediyorsunuz öneririm �
Graphic novel versie van dit klassieke verhaal, binnen een avondje te lezen. De vraag is natuurlijk wat het afbeelden van Gregor doet met de interpretatie van zijn toestand. Het is denk ik niet zoals Kafka het oorspronkelijk bedoeld heeft. Van de oorspronkelijke tekst is veel weggelaten (voornamelijk vele oneindige Duitse zinnen met tig komma's), toch is het niet minder invoelbaar wat Gregor overkomt.
Je ne me souviens pas suffisamment de l'œuvre originale pour disserter des éventuels apports/oublis de ce format par rapport au roman. En quelques pages on est par contre transporté 100 ans en arrière dans un monde où le travail est un supplice et la vie une survie. La BD retranscrit également une inquiétude et une noirceur qui ont été pour moi son principale intérêt tant j'ai eu du mal à mettre du sens dans la métaphore de cette transformation en cafard qui fini mal
Ich sage nur eins: Man muss Kafka selbst ein bisschen besser "kennen" um diese Geschichte zu verstehe. Extrem tiefgründig. Eine Metapher als Buch verfasst. Man kann sich wochenlang damit beschäftigen. Ich persönlich mag es, aber es wird auch anstrengend, weil man eigentlich nur damit beschäftigt ist zu interpretieren.
Ein gesellschaftskritisches literarisches Werk, das definitiv hängen bleibt. Franz Kafka schafft es immer wieder einen als Leser mit seinem Schreibstil in den Bann zu ziehen. Auch Gregor als Protagonist war sehr greifbar. Ich freue mich schon auf die anderen Erzählungen von Kafka und kann die Verwandlung definitiv empfehlen.
“Als Gregor Samsa eines morgens erwachte, fand er sich in seinem Bett du einem ungeheuren Ungeziefer verwandelt.� I get a chill every time I read that first sentence, and it was pretty cool to read it in its original language for once. But well, this version skips through a lot of the original story, and that makes it a lot less convincing in my opinion.