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Fils de l'eau
Pour échapper à la noyade, un enfant développe des
branchies qui vont lui permettre de respirer, de
survivre dans le monde des hommes et de nager dans
la solitude de l’eau et le bonheur d’être libre au milieu
des poissons.
Cet épisode sera pour lui comme une seconde naissance
car il ne se souvient de rien de ce qui s’est passé avant.
Recueilli par un vieil homme et son petit-fils, il mène
avec eux une vie fruste et innocente au bord du lac où
ils vivent, forcé de cacher sa singularité aux yeux des
autres.
Profondément ancré dans la réalité de la Corée
d’aujourd’hui, ce roman distille un charme secret.
Imprégné de l’odeur de l’eau et des algues, de la
violence de la pluie, il conte l’histoire d’un être à part,
dont la différence est à la fois un malheur et une grâce,
avant de devenir le moyen de sauver les autres.
branchies qui vont lui permettre de respirer, de
survivre dans le monde des hommes et de nager dans
la solitude de l’eau et le bonheur d’être libre au milieu
des poissons.
Cet épisode sera pour lui comme une seconde naissance
car il ne se souvient de rien de ce qui s’est passé avant.
Recueilli par un vieil homme et son petit-fils, il mène
avec eux une vie fruste et innocente au bord du lac où
ils vivent, forcé de cacher sa singularité aux yeux des
autres.
Profondément ancré dans la réalité de la Corée
d’aujourd’hui, ce roman distille un charme secret.
Imprégné de l’odeur de l’eau et des algues, de la
violence de la pluie, il conte l’histoire d’un être à part,
dont la différence est à la fois un malheur et une grâce,
avant de devenir le moyen de sauver les autres.
- GenresFictionMagical Realism
208 pages, Paperback
First published March 30, 2011
10 people are currently reading
124 people want to read
About the author
Gu Byeong-mo
22books170followersAssociated Names:
* 구병� (Korean)
* Gu Byeong-mo (English)
* คูบยองโม (Thai)
Gu Byeong-mo is a South Korean writer. She made her literary debut in 2009 when her novel Wizard Bakery won the 2nd Changbi Prize for Young Adult Fiction. Her 2015 short story collection Geugeosi namaneun anigireul received the Today's Writer Award and Hwang Sun-won New Writers' Award.
* 구병� (Korean)
* Gu Byeong-mo (English)
* คูบยองโม (Thai)
Gu Byeong-mo is a South Korean writer. She made her literary debut in 2009 when her novel Wizard Bakery won the 2nd Changbi Prize for Young Adult Fiction. Her 2015 short story collection Geugeosi namaneun anigireul received the Today's Writer Award and Hwang Sun-won New Writers' Award.
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Community Reviews
Displaying 1 - 22 of 22 reviews
September 4, 2022
Pha b� lái của tác gi� không th� ng� tới, nhưng diễn biến sau cũng không th� hiện được điều gì. Một cuốn sách quá ngắn, trong khi nó có th� phát triển thêm.
April 19, 2021
Ma note correspond plutôt à un 3,5/5. C'est une histoire qui mêle réalisme et onirisme. Il y a eu de jolis moments, des moments plus durs, et j'ai aimé les lire mais j'étais à la fois emotionally involved et à la fois pas du tout. Le dernier chapitre, comme une intervention de l'autrice dans ce récit, me laisse dubitative - je l'aime bien, et à la fois, je ne sais pas si je l'aime tant que ça. Bref, une bonne lecture de façon générale :)))))
August 13, 2021
2/5
Lu en une journée, je m'attendais à un récit plus enchanteur. Or, l'ambiance était soit glauque, soit vulgaire. L'aspect fantastique vient appuyer la morale de l'histoire et permet, telle une béquille, de donner une touche d'onirisme et de beauté. La fin est particulièrement accrocheuse et sauve les meubles mais mon sentiment final est très mitigé.
Je suis d'accord sur la métaphore que chaque personne est un cours d'eau qui alimente d'autres cours d'eaux et qu'il y a de la beauté dans la différence et l'acceptation de cette différence. Mais je reste persuadée aussi qu'on peut exprimer cette idée avec une pointe de fantastique en allant plus loin...
Lu en une journée, je m'attendais à un récit plus enchanteur. Or, l'ambiance était soit glauque, soit vulgaire. L'aspect fantastique vient appuyer la morale de l'histoire et permet, telle une béquille, de donner une touche d'onirisme et de beauté. La fin est particulièrement accrocheuse et sauve les meubles mais mon sentiment final est très mitigé.
Je suis d'accord sur la métaphore que chaque personne est un cours d'eau qui alimente d'autres cours d'eaux et qu'il y a de la beauté dans la différence et l'acceptation de cette différence. Mais je reste persuadée aussi qu'on peut exprimer cette idée avec une pointe de fantastique en allant plus loin...
January 28, 2019
Why are Korean books always so sad 😔
October 25, 2017
J’admets : j’ai choisi ce livre à cause de la première phrase du quatrième : « Pour échapper à la noyade, un enfant développe des branchies qui lui permettent de vivre dans la solitude de l’eau et le bonheur d’être libre au milieu des poissons. »
VENDU !
Cependant, je n’ai pas laissé gonfler mes espoirs pour le contenu, ayant toujours une hésitation pour les livres sous-marins qui m’attire d’une phrase comme ça ; j’ai gardé un petit côté sceptique pour éviter une grande déception�
Heureusement, j’étais loin, très loin, d’être déçue par ce livre. Le côté fantastique m’a plus beaucoup � Gon était à la fois très humain et très innocent malgré ses expériences malheureuses. On ne peut pas dire qu’il voit toujours le soleil derrière les nuages, mais il ne se laisse pas submerger par les ténèbres de la vie dure non plus. Il vit sa vie, tout simplement, peu importe ce qui lui arrive, et il est très fidèle envers eux qui l’ont sauvé, une fidélité qui est assez rare de nos jours. La fidélité d’un enfant, d’un innocent, de quelqu’un qui voit le monde en noir et blanc, mais qui est toujours prête à ne pas tenir compte des coins sombres.
La vie de Gon, de Kangha, d’Inyeong, m’a pris par les épaules et ne m’a pas libéré jusqu’� la fin. J’ai vu le petit village où ils habitaient, j’ai vu son lac, la maison avec son cour � et les profondeurs accueillant du lac où Gon se baigne au milieu de la nuit. J’ai vu aussi le petit village où Gon rencontre la femme qui va lui raconter son histoire, avec son rivière qui coule avec les détritus des étudiants bourré, mais qui brille quand même avec les poissons qui y habitent. C’est un livre très visuelle, avec des couleurs qui scintillent sous le soleil, sous les eaux.
Plus profond que ça, on trouve un commentaire sur la société coréen � une société où sauver quelqu’un pourrait vous mener des conséquences : vous devriez payer une amende pour des dédommages qui n’ont pas été forcement de votre faute :
-- Je préfère payer l’amende. J’ai seulement pensé à le sauver, je n’ai pas réfléchi aux conséquences. (page 35)
Il y aussi la coutume de veiller sur ses parents jusqu’� leur mort, sans penser à vous-même et votre vie, à vos besoins : de donner tout son être pour veiller sur eux, même quand ils ne vous reconnaissent plus, souvent sans beaucoup d’assistance des autres. Demander de l’assistance aux autres n’est pas très bon : vous devriez pouvoir le faire tout seul. Si vous ne le faites pas, il n’y a que des malheurs qui pourraient vous arriver. Mais on voit ici aussi, le coût de le faire n’est pas si bas non plus, et pourrait apporter ses propres malheurs.
C’est une histoire d’une famille, deux familles, trois familles brisées, cassées, qui font tout pour survivre, pour trouver une raison d’être, qui découvrent ce qui est chère dans la vie, et à tel point qu’il faut l’apprécier. Et que les liens qui nous lient sont plus forts qu’on ne l’aurait pas pensé, et les expériences de nos enfance nous marquent à jamais.
J’ai dévoré ce livre, et à la dernière page, j’ai voulu le recommencer tout de suite�
Citations préférés :
VENDU !
Cependant, je n’ai pas laissé gonfler mes espoirs pour le contenu, ayant toujours une hésitation pour les livres sous-marins qui m’attire d’une phrase comme ça ; j’ai gardé un petit côté sceptique pour éviter une grande déception�
Heureusement, j’étais loin, très loin, d’être déçue par ce livre. Le côté fantastique m’a plus beaucoup � Gon était à la fois très humain et très innocent malgré ses expériences malheureuses. On ne peut pas dire qu’il voit toujours le soleil derrière les nuages, mais il ne se laisse pas submerger par les ténèbres de la vie dure non plus. Il vit sa vie, tout simplement, peu importe ce qui lui arrive, et il est très fidèle envers eux qui l’ont sauvé, une fidélité qui est assez rare de nos jours. La fidélité d’un enfant, d’un innocent, de quelqu’un qui voit le monde en noir et blanc, mais qui est toujours prête à ne pas tenir compte des coins sombres.
La vie de Gon, de Kangha, d’Inyeong, m’a pris par les épaules et ne m’a pas libéré jusqu’� la fin. J’ai vu le petit village où ils habitaient, j’ai vu son lac, la maison avec son cour � et les profondeurs accueillant du lac où Gon se baigne au milieu de la nuit. J’ai vu aussi le petit village où Gon rencontre la femme qui va lui raconter son histoire, avec son rivière qui coule avec les détritus des étudiants bourré, mais qui brille quand même avec les poissons qui y habitent. C’est un livre très visuelle, avec des couleurs qui scintillent sous le soleil, sous les eaux.
Plus profond que ça, on trouve un commentaire sur la société coréen � une société où sauver quelqu’un pourrait vous mener des conséquences : vous devriez payer une amende pour des dédommages qui n’ont pas été forcement de votre faute :
-- Je préfère payer l’amende. J’ai seulement pensé à le sauver, je n’ai pas réfléchi aux conséquences. (page 35)
Il y aussi la coutume de veiller sur ses parents jusqu’� leur mort, sans penser à vous-même et votre vie, à vos besoins : de donner tout son être pour veiller sur eux, même quand ils ne vous reconnaissent plus, souvent sans beaucoup d’assistance des autres. Demander de l’assistance aux autres n’est pas très bon : vous devriez pouvoir le faire tout seul. Si vous ne le faites pas, il n’y a que des malheurs qui pourraient vous arriver. Mais on voit ici aussi, le coût de le faire n’est pas si bas non plus, et pourrait apporter ses propres malheurs.
C’est une histoire d’une famille, deux familles, trois familles brisées, cassées, qui font tout pour survivre, pour trouver une raison d’être, qui découvrent ce qui est chère dans la vie, et à tel point qu’il faut l’apprécier. Et que les liens qui nous lient sont plus forts qu’on ne l’aurait pas pensé, et les expériences de nos enfance nous marquent à jamais.
J’ai dévoré ce livre, et à la dernière page, j’ai voulu le recommencer tout de suite�
Citations préférés :
November 4, 2024
Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Fils de l'Eau ?
"Il faisait partie de ma wishlist coréenne depuis un certains temps mais il est malheureusement épuisé, alors quand Lili des Bellons m'a proposé de me l'envoyer après l'avoir lu elle-même, je ne pouvais pas refuser tant de gentillesse."
Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Une nuit, un vieil homme qui vit seul avec son petit-fils au bord d'un étang à la triste réputation va sauver un enfant de la noyade. Mais cet enfant n'est pas ordinaire, pour survivre au suicide dans lequel son père a essayé de l'entraîner, il a développé des branchies..."
Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?
"Je ne suis pas sûre que le charme secret vanté par l'éditeur ait véritablement fonctionné sur moi. C'est une jolie histoire, touchante, derrière laquelle se cache sans aucun doute une collection complète de non-dits, de sentiments mêlés et complexes, de matière à réflexion... Mais à trop vouloir les dissimuler, je suis finalement restée en surface de ma lecture, sans mauvais jeu de mots. Il est difficile de trouver le bon équilibre entre une pudeur délicate dans l'expression des sentiments et une réserve trop grande, refusant l'accès au lecteur. Ici, on penche nettement vers le deuxième cas de figure et c'est le genre de choix de traduction qui me laisse un peu perplexe. Sachant tout ce qui existe en littérature coréenne et le peu qui arrive jusqu'à nous, pourquoi celui-là ? Si je n'ai ressenti aucun déplaisir à le découvrir et que je suis quand même contente de l'avoir lu, ce n'est assurément pas une lecture qui me marquera."
Et comment cela s'est-il fini ?
"J'ai beaucoup aimé la poésie de cette fin mais j'en aurais voulu tellement plus."
"Il faisait partie de ma wishlist coréenne depuis un certains temps mais il est malheureusement épuisé, alors quand Lili des Bellons m'a proposé de me l'envoyer après l'avoir lu elle-même, je ne pouvais pas refuser tant de gentillesse."
Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Une nuit, un vieil homme qui vit seul avec son petit-fils au bord d'un étang à la triste réputation va sauver un enfant de la noyade. Mais cet enfant n'est pas ordinaire, pour survivre au suicide dans lequel son père a essayé de l'entraîner, il a développé des branchies..."
Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?
"Je ne suis pas sûre que le charme secret vanté par l'éditeur ait véritablement fonctionné sur moi. C'est une jolie histoire, touchante, derrière laquelle se cache sans aucun doute une collection complète de non-dits, de sentiments mêlés et complexes, de matière à réflexion... Mais à trop vouloir les dissimuler, je suis finalement restée en surface de ma lecture, sans mauvais jeu de mots. Il est difficile de trouver le bon équilibre entre une pudeur délicate dans l'expression des sentiments et une réserve trop grande, refusant l'accès au lecteur. Ici, on penche nettement vers le deuxième cas de figure et c'est le genre de choix de traduction qui me laisse un peu perplexe. Sachant tout ce qui existe en littérature coréenne et le peu qui arrive jusqu'à nous, pourquoi celui-là ? Si je n'ai ressenti aucun déplaisir à le découvrir et que je suis quand même contente de l'avoir lu, ce n'est assurément pas une lecture qui me marquera."
Et comment cela s'est-il fini ?
"J'ai beaucoup aimé la poésie de cette fin mais j'en aurais voulu tellement plus."
October 6, 2021
✨Citation: « On aurait dit que la plaie avait été découpée en arc de cercle avec la point d’un couteau. C’était tellement impréssionnant qu’il n’osa même pas en évaluer la profondeur.» 💫
Bon il n’y a rien a faire, plus je lis les livres de cette Autrice plus je suis incroyablement fan de ce qu’elle fait. Elle part d’une vie avec soit des blessures, soit des violences, bref des vies «merdiques» et elle les sauve en apportant de la magie dans leur vie.
Le fil de l’eau n’échappe pas à cela, elle prend la vie d’une femme, sous payée, obligée de s’occuper de sa mère très malade, et qui par un malheureux accident tombe d’un pont directement dans la rivière. Elle sera sauver par un homme particulier qui s’enfuira avant que les secours ne la rejoigne. Plus tard on apprendra qui est cette homme, mais surtout que la dame le cherchait pour lui annoncer une nouvelle. Une histoire magnifique où on voit des vies brisées, emplis de difficultés et malgré tout la douceur humaine qui sauveront et protegeront cet enfant si unique. On voyage on vouage et on vouage dans le fantastique et dans le réel tout au long des livres. Je suis... fan complètement fan d’elle. 🌸
May 3, 2024
Un livre qui peut être clivant dès le début, car la quatrième de couverture ne laisse pas deviner le véritable contenu de ce court roman aux allures de conte moderne et sombre divisé en différentes parties, chacune traitant des tranches de vie différentes avec des narrateurs différents. Mais tous tournant autour de l’histoire de ce garçon-poisson.
L’un des thèmes les plus présents dans ce livre est celui du suicide, vient ensuite celui de la famille et des violences psychiques causées par la famille. Les personnages qui nous sont décrits sont tous brisés d’une manière ou d’une autre. Il ressort énormément de violence et de désespoir dans ce livre. Et pourtant c’est raconté avec une certaine douceur, c’est une sensation très étrange. Un livre plus profond que ce que sa quatrième de couverture laisse à penser. En un mot, j’ai apprécié cette lecture.
L’un des thèmes les plus présents dans ce livre est celui du suicide, vient ensuite celui de la famille et des violences psychiques causées par la famille. Les personnages qui nous sont décrits sont tous brisés d’une manière ou d’une autre. Il ressort énormément de violence et de désespoir dans ce livre. Et pourtant c’est raconté avec une certaine douceur, c’est une sensation très étrange. Un livre plus profond que ce que sa quatrième de couverture laisse à penser. En un mot, j’ai apprécié cette lecture.
February 16, 2025
4 stars for the initial idea and concept, 3 stars for the execution and the general storytelling.
The short books tells a tale of a boy who doesn't seem to be human, more like a mermaid-person, and who is surrounded by people living a hard life followed by wrong choices. While the beginning was promising, the story didn't really get anywhere from the middle and all the mystical aura or fascinating presence of the boy disappeared page after page until nothing was left in the end. The book is not bad but I also don't really get why this protagonist was introduced in this mermaid-form because I couldn't see the added value in it.
(To be honest, I have a different hardcover version than shown here. I love the book cover of the version I bought; if I would have seen the book cover as seen on ŷ, I probably wouldn't have bought/read it)
The short books tells a tale of a boy who doesn't seem to be human, more like a mermaid-person, and who is surrounded by people living a hard life followed by wrong choices. While the beginning was promising, the story didn't really get anywhere from the middle and all the mystical aura or fascinating presence of the boy disappeared page after page until nothing was left in the end. The book is not bad but I also don't really get why this protagonist was introduced in this mermaid-form because I couldn't see the added value in it.
(To be honest, I have a different hardcover version than shown here. I love the book cover of the version I bought; if I would have seen the book cover as seen on ŷ, I probably wouldn't have bought/read it)
May 30, 2022
This is the first novel I've read by Korean author Gu Byeong-mo. The book is about a young boy with fish physical aspects and aptitudes, found by an elderly and his grand-son in a lake. Readers are intrigued and interested by the story during the first half of the book because the leading character is fascinating, nice, and naive, but his physical appearance and aptitudes makes him also a marginal of the society. It is in the second half of the book that the story stalled a bit and became less interseting.
It was difficult to discern the main messages that the author tried to convey.
I believe the author sensed it too because at the end of the book there was an author's note about the main message he tried to share, which was the first time I read an author do that!!!.
It was difficult to discern the main messages that the author tried to convey.
I believe the author sensed it too because at the end of the book there was an author's note about the main message he tried to share, which was the first time I read an author do that!!!.
June 27, 2019
Short, but touching
Half mermaid person looking for remnants of his made (not biologically assigned) family in the ocean. Have been thinking about one particular phrase which the author used, '재생불가능한 절망'.
Half mermaid person looking for remnants of his made (not biologically assigned) family in the ocean. Have been thinking about one particular phrase which the author used, '재생불가능한 절망'.
June 17, 2018
I wasn't expecting this kind of story at all, but i was charmed nonetheless. It's very poetic, sweet, profound. I loved it !
August 17, 2019
exellent
May 15, 2020
아가미와 지느러미가 있는 물고� 사람� 둘러� 이야�. 지루하� 현학적으� 청승맞음
September 3, 2021
곤이라는 이름� 강하가 지었다� 사실� 슬픈 아름다움으로 다가온다
January 26, 2023
Một trong những quyển sách mình tâm đắc nhất trong năm 2022, hay bởi cốt truyện, nhân vật và ý nghĩa nhân văn mà tác gi� muốn truyền đạt. Dịch gi� cuốn sách này cũng thực s� đỉnh luôn.
March 3, 2024
오랜만에 � 쓰여졌다� 생각하는 한국소설� 읽었�. 처음부� 끝까지 신비롭고 동화같으면서 환상� 헤어나가� 듯한 기분� 든다. not much substance, but the writing flows 너무 유려하게. 전체적인 스토리는 저 편에 있는, 닿을락말락하� 기분이다.
May 3, 2022
Nói là 'chuyện c� tích tuyệt đẹp v� cậu bé người cá' hay đánh giá 9/10 xao ngất ngưởng trên các trang bán sách của Hàn thì cũng không đúng lắm, nhưng theo mình thì sách không đến nỗi b� rate thấp như � đây.
'Người cá' tuy � nửa đầu câu chuyện nhịp điệu khá chậm và hơi bình bình đến mức buồn ng� thì nửa cuối lại khá là trơn tru và gây xúc động với mình.
Cá nhân mình thích cuốn này hơn 1 s� các tác phẩm văn học Hàn Quốc khác.
Ngoài ra thì có l� vì đây là câu chuyện v� một 'người cá' nên tác gi� đã c� ý đ� tên những nhân vật xuất hiện quanh cậu có ý nghĩa liên quan tới 'nước'.
Trích đoạn đắt giá nhất và mình thấy yêu thích nhất của cuốn sách (xin phép đ� nguyên gốc vì nó spoil phần hay ra mất ㅜㅜ)
"�, 당신 이름� 있잖아요. 그렇� 부르기� 기억하기� 쉬운 � � 글자뿐� 이름�, 막상 자기가 븉여놓고 부르지� 못했어요..."
'Người cá' tuy � nửa đầu câu chuyện nhịp điệu khá chậm và hơi bình bình đến mức buồn ng� thì nửa cuối lại khá là trơn tru và gây xúc động với mình.
Cá nhân mình thích cuốn này hơn 1 s� các tác phẩm văn học Hàn Quốc khác.
Ngoài ra thì có l� vì đây là câu chuyện v� một 'người cá' nên tác gi� đã c� ý đ� tên những nhân vật xuất hiện quanh cậu có ý nghĩa liên quan tới 'nước'.
Trích đoạn đắt giá nhất và mình thấy yêu thích nhất của cuốn sách (xin phép đ� nguyên gốc vì nó spoil phần hay ra mất ㅜㅜ)
"�, 당신 이름� 있잖아요. 그렇� 부르기� 기억하기� 쉬운 � � 글자뿐� 이름�, 막상 자기가 븉여놓고 부르지� 못했어요..."
This entire review has been hidden because of spoilers.
February 7, 2017
Partie pour lire quelques pages avant de me coucher, j’ai fini par lire la moitié du roman avant de le finir le lendemain soir. Vous aurez donc compris que j’ai beaucoup apprécié cette lecture qui m’a tout simplement happée dès les premières pages d’autant que le livre n’est pas dénué d’humour.
J’ai adoré la plume de l’auteure tout en finesse. Les pages défilent les unes après les autres sans que l’on s’en aperçoive comme si les mots coulaient de source. Il n’y a pas de jolies descriptions ou d’envolées lyriques, mais pourtant, le texte que nous offre l’autrice est d’une très grande poésie.
Dans le roman, Gon est qualifié d’homme-sirène ce qui m’a un peu perturbée car sa description et ses particularités physiques me font plutôt penser à un homme-poisson. Mais, c’est vrai que cette appellation perd le côté magique du personnage et suscite bien moins l’imagination.
Je m’attendais d’ailleurs à ce que la place de l’imaginaire soit plus conséquente. L’autrice nous décrit de manière si naturelle les attributs physiques de poisson de Gon et les intègrent si bien au récit, qu’on finit presque par les croire comme normaux. Ils font partie de Gon et c’est tout ! Ce sentiment est accentué par le fait qu’elle n’explique pas d’où ils viennent et qu’au final, cette différence n’est pas le point central du roman, mais plutôt un point de départ.
Au-delà de l’aspect fantastique, l’autrice aborde différents thèmes comme la solitude qui semble si présente et pesante, les relations familiales et toute leur complexité, la différence et la peur qu’elle suscite, l’amour et la haine� Tout cela fait de Fils de l’eau une lecture forte qui marque l’esprit du lecteur même une fois la dernière page tournée d’autant que l’épilogue du livre est très beau et triste à la fois.
En conclusion, dénué de tout superflu, l’écrivaine nous livre ici texte simple mais d’une grande beauté, un peu à l’image de notre homme-sirène. Derrière le côté fantastique, ce roman est avant tout une histoire bien humaine où l’ambivalence des sentiments prévaut.
J’ai adoré la plume de l’auteure tout en finesse. Les pages défilent les unes après les autres sans que l’on s’en aperçoive comme si les mots coulaient de source. Il n’y a pas de jolies descriptions ou d’envolées lyriques, mais pourtant, le texte que nous offre l’autrice est d’une très grande poésie.
Dans le roman, Gon est qualifié d’homme-sirène ce qui m’a un peu perturbée car sa description et ses particularités physiques me font plutôt penser à un homme-poisson. Mais, c’est vrai que cette appellation perd le côté magique du personnage et suscite bien moins l’imagination.
Je m’attendais d’ailleurs à ce que la place de l’imaginaire soit plus conséquente. L’autrice nous décrit de manière si naturelle les attributs physiques de poisson de Gon et les intègrent si bien au récit, qu’on finit presque par les croire comme normaux. Ils font partie de Gon et c’est tout ! Ce sentiment est accentué par le fait qu’elle n’explique pas d’où ils viennent et qu’au final, cette différence n’est pas le point central du roman, mais plutôt un point de départ.
Au-delà de l’aspect fantastique, l’autrice aborde différents thèmes comme la solitude qui semble si présente et pesante, les relations familiales et toute leur complexité, la différence et la peur qu’elle suscite, l’amour et la haine� Tout cela fait de Fils de l’eau une lecture forte qui marque l’esprit du lecteur même une fois la dernière page tournée d’autant que l’épilogue du livre est très beau et triste à la fois.
En conclusion, dénué de tout superflu, l’écrivaine nous livre ici texte simple mais d’une grande beauté, un peu à l’image de notre homme-sirène. Derrière le côté fantastique, ce roman est avant tout une histoire bien humaine où l’ambivalence des sentiments prévaut.
May 15, 2018
C'est à ce moment là que le fil ténu qui reliait l'homme à la réalités'était brutalement rompu.
Dans ce récit relativement court, nous découvrons un homme molesté par la vie, qui n'a plus que son fils et qui, dégoûté par les autres et vidé de toute forme d'espoir décide de se suicider en se jetant dans un lac. Son fils survit miraculeusement en développant des branchies.
A travers les points de vue des différents personnages (tous très attachants!), nous découvrons l'histoire tragique de ce jeune homme-poisson, recueillit par un vieil homme et son petit-fils.
Je ne pourrai compter que sur moi-même, tout comme je dois me débrouiller seule dans cette société qui a tout d'une eau sans fond.
Ce "conte des temps moderne" dénonce la société coréenne, injuste, qui récompense toujours les mêmes et qui n'a aucun remords à mettre les "indésirables" à la poubelle. Cette société coréenne a beau avoir les apparences d'un lac calme et paisible, elle est en réalité une tempête, un déluge qui engloutit tout sur son passage.
La seule manière de s'en sortir c'est de trouver et de s'entourer de ces êtres qui sont pour nous aussi indispensables que les branchies aux poissons.
Dans ce récit relativement court, nous découvrons un homme molesté par la vie, qui n'a plus que son fils et qui, dégoûté par les autres et vidé de toute forme d'espoir décide de se suicider en se jetant dans un lac. Son fils survit miraculeusement en développant des branchies.
A travers les points de vue des différents personnages (tous très attachants!), nous découvrons l'histoire tragique de ce jeune homme-poisson, recueillit par un vieil homme et son petit-fils.
Je ne pourrai compter que sur moi-même, tout comme je dois me débrouiller seule dans cette société qui a tout d'une eau sans fond.
Ce "conte des temps moderne" dénonce la société coréenne, injuste, qui récompense toujours les mêmes et qui n'a aucun remords à mettre les "indésirables" à la poubelle. Cette société coréenne a beau avoir les apparences d'un lac calme et paisible, elle est en réalité une tempête, un déluge qui engloutit tout sur son passage.
La seule manière de s'en sortir c'est de trouver et de s'entourer de ces êtres qui sont pour nous aussi indispensables que les branchies aux poissons.
May 2, 2016
� Ma chronique du "Fils de l'eau" de Gu Byeong-Mo est disponible sur le blog : �
October 18, 2022
une lecture sympathique :)
Displaying 1 - 22 of 22 reviews
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