Antoine Duris est professeur aux Beaux-Arts de Lyon. Du jour au lendemain, il décide de tout quitter pour devenir gardien de salle au musée d’Orsay. Personne ne connaît les raisons de cette reconversion ni le traumatisme qu’il vient d’éprouver. Pour survivre, cet homme n'a trouvé qu’un remède, se tourner vers la beauté. Derrière son secret, on comprendra qu’il y a un autre destin, celui d’une jeune femme, Camille, hantée par un drame.
David Foenkinos is a French novelist, playwright, screenwriter and director who studied both literature and music in Paris.
His novel La délicatesse is a bestseller in France. A film based on the book was released in December 2011, with Audrey Tautou as the main character. His novels have appeared in over forty languages, and in 2014 he was awarded the Prix Renaudot for his novel Charlotte.
Growing up in a home with few books and often absent parents, David Foenkinos read and wrote little during his childhood. At 16, he required emergency surgery as a result of a rare pleural infection and spent several months recuperating in hospital, where he began to devour books, learning to paint and play the guitar. From this experience, he says, he kept a drive for life, a force that he wanted to convey through his books.
He studied literature at the Sorbonne and music in a jazz school, eventually becoming a guitar teacher. In the evenings, he was a waiter in a restaurant. After unsuccessfully trying to set up a music group, he turned his hand to writing.
After a handful of failed manuscripts, he found his style, and his first novel Inversion de l'idiotie: de l'influence de deux Polonais (“Inversion of idiocy: influenced by two Poles�), though refused by many other publishers, was published by Gallimard in 2002; the book earned him the François-Mauriac literary prize, awarded by the Académie Française.
David Foenkinos is the brother of director Stéphane Foenkinos.
La plume de Foenkinos est devenue bien plus mature qu'à ses débuts et c'est très agréable de pouvoir constater cette évolution. J'avais adoré "Charlotte" (qui je pense est son meilleur roman), il faut croire que ses textes sur la peinture sont définitivement ceux qui me plaisent le plus.
Foenkinos a publicat și cărți mai bune. Succesul nu i-a făcut bine. Scris în mare grabă, cu multe comparații tocite, cu personaje puțin verosimile, romanul Către frumusețe m-a dezamăgit.
Autorul a vrut să ilustreze dictonul lui Dostoievski: „Frumusețea va salva lumea�. Din păcate, frumusețea n-o salvează pe tînăra și talentata Camille Perrotin, victimă a unui abuz sexual, de la sinucidere. Și nici pe profesorul ei de la Academia din Lyon, Antoine Duris. Măcinat de o profundă depresie, Duris se ascunde într-un muzeu din Paris (și-a părăsit postul din Lyon, vrea să devină ceea ce japonezii numesc „jouhatsu�, un nimeni), privește pierdut ore în șir portretul lui Jeanne Hébuterne realizat de Modigliani (nu știm care, pictorul a lăsat cel puțin șase versiuni), dar nu simte nici o mîngîiere. Frumusețea nu pare a-l scoate din depresie.
Abia prietenia cu Mathilde Mattel (pe care o cunoaște la Muzeu) îl ajută să prindă puteri.
Ce livre est bouleversant. le thème principal de ce livre est la beauté de l’art, mais il aborde également avec brutalité le thème du viol, du non consentement, et de la violence de l’être humain. David FOENKINOS décrit également les répercussions que le viol peut avoir sur la victime, d’une manière si reelle qu’elle peut meme effrayer le lecteur. De nombreux extraits bouleversent par leur réalisme et leur brutalité. Selon moi, ce livre est tel une gigantesque antithèse entre la beauté des choses, de l’art et de la vie, et la bestialité de l’être humain.
2,5� Lo único que salvo del libro es la forma en la que David Foenkinos usa la tercera persona. Todo lo demás, en mi opinión, es una auténtica decepción. El autor habla de arte, de psicología y de relaciones humanas; queriendo darle a la trama un trasfondo muy profundo y humano (mírese el título de la novela). Sin embargo, no lo consigue y la historia acaba siendo todo un culebrón sentimental y desdibujado. Los personajes son horribles. Lo siento, pero no.
Mon troisième livre de David Foenkinos et je crois qu’il est en train de devenir un de mes auteurs favoris. Une histoire bouleversante qui m’a réellement fait mal au coeur. David Foenkinos écrit avec une sensibilité qui est incomparable.
comment parler d'une œuvre de manière détachée lorsque celle-ci s'est ainsi emparée de vos sentiments ? comment ne serait-ce que feindre l'objectivité face à une forme d'art ? "vers la beauté" a tenu mon cœur entre ses mains tout le long de ma lecture. il l'a dorloté un moment, l'a maltraité longtemps, a tenté de le guérir. je vais maintenant tenter d'en parler avec le plus de cohérence possible.
le style d'écriture de foenkinos est d'une simplicité qui m'aurait, en temps normal, agacée. aussi prétentieux que cela puisse paraître, j'ai toujours été plus attirée et charmée par des styles plus complexes, des descriptions plus détaillées, du symbolisme et du sous-texte : des livres que je peux relire et immanquablement y trouver une référence cachée ou un détail qui m'aurait échappé. mais la plume de foenkinos est empreinte de quelque chose de singulier, quelque chose que je qualifierais de tendresse. tout a un écho poétique, chaque mot est une caresse, chaque précision une petite douceur. lorsque l'on ajoute à cela la sobriété dont j'ai parlé plus haut, le caractère addictif est indéniable. les chapitres sont courts, les paragraphes espacés, les phrases concises. ce serait mentir que de dire que je n'ai pas dévoré le livre, en particulier la deuxième partie.
quant à l'histoire en elle-même, je ne fais pas d'hyperbole en affirmant qu'elle m'a bouleversée au-delà des mots. foenkinos parle de beauté. il met en avant ses propriétés salutaires et cicatrisantes. il la qualifie de remède contre la douleur et la souffrance. foenkinos parle d'art. l'art est le sang qui coule dans les veines de ce livre ; il est omniprésent, il donne et redonne la vie, il l'ôte parfois. foenkinos parle d'amour. comment peut-on possiblement parler de beauté et d'art sans parler d'amour ? l'amour est là, sous toutes ses formes. l'amour est là. mais foenkinos parle aussi de viol. et c'est ce qui m'a autant maltraité le cœur. il décrit le calme qui précède la tempête : l'insouciance, les doutes qu'on refoule ; puis indéniablement, la tempête : déchaînée, sonore, détruisant tout sur son passage, laissant des séquelles immuables ; enfin, le calme qui succède à la tempête : sinistre, assourdissant, funèbre.
ce qui est le plus frappant, ce qui broie le plus le cœur, c'est l'universalité de cette histoire. son caractère fictif n'annule pas son réalisme alarmant. c'est une histoire qui nous est contée tous les jours, si bien qu'on tombe dans l'habitude, dans une torpeur qui nous anesthésie face à l'horreur. on oublie que toutes ces victimes sont des personnes à part entière, avec des passions et des projets, pleines de vie et d'avenir. on les déshumanise, on les réduit à des pourcentages. on se déconnecte émotionnellement, on en parle avec froideur.
on oublie aussi que tous ces violeurs sont aussi des personnes, des êtres humains que l'on peut croiser facilement, des hommes qui font partie de notre entourage. pas des monstres, ni forcément des malades mentaux. eux aussi, on les déshumanise. et on pense alors que l'on est isolé du danger, que ça n'arrive qu'aux autres, que les autres ont forcément une part de culpabilité. c'est terriblement faux. aucune femme n'est à l'abri du danger, aucune vie n'est épargnée au détriment d'une satisfaction de quelques secondes. mais c'est une satisfaction d'homme, et une satisfaction d'homme, même minime, ça vaut bien une vie de femme.
un de ces livres qui sauve une vie et qui panse les maux par les mots , je suis extrêmement émue il va être 1h du matin et j’ai un truc au coeur actuellement, les larmes coulent et je veux juste dire : merci pour tout monsieur 🩹
Мені давно не було так боляче від книги, от просто закриваєш її, бо фізично болить і боїшся читати далі, бо знаєш, що можливою є лише одна кінцівка. Точно не для перечитування, її повністю проживаєш за раз; неможливо читати беземоційно, будьте певні. Але сама історія написана "до болю" прекрасно. Здається, що це такий дисонанс, але це можливо. Дуже відчувається, що автор кіносценарист - зовсім невеликий об'єм, а максимально використаний для передачі емоцій та психологізму, усе яскраве, насичене і загострене. Але хочу попередити тих, кого дуже тригерять сцени насильства, ця історія не для вас. Сподіваюсь, що у нас ще будуть видавати Фоенкіноса.
After Henry Pick, and after Charlotte, i was so happy to find a new book from David Foenkinos. The reading went well, the style is very easy and not pretentious. almost too easy. It was actually like i was reading something a 14 year old would write. After page 80, i just turned the pages and read a little on every page, some of the dialogues. I got to the end in 10 minutes or so, understanding the whole plot and story overall. What does this say about this book: - it is superficially written, the insights lack profoundness. - target audience - 15 year old girls - too many pages for something that could have passed in max 2 pages
Careful ! the first 150 pages are an introduction for the real story which takes place over the last 80 pages.
“Las tristezas se olvidan con Botticelli, los miedos se atenúan con Rembrandt y las penas se reducen con Chagall�. ¡Belleza (literal) de libro con un final absolutamente inesperado! 🖤
Una historia que nos señala cómo un hecho doloroso (aunque solo sea uno) puede atravesar las vidas de las personas, hasta dejarlas exhaustas, desvalidas y definitivamente sin norte. Y cuando la necesidad de escapar es inevitable siempre será mejor escapar hacia la belleza. Pero ¿podrá la belleza, en este caso la belleza del arte, salvarnos del dolor?
"Número dos", de este mismo autor, me pareció original en su premisa, pero me resultó confusa e inverosímil. En esta otra novela, Foenkinos mantiene su estilo personal, una escritura correcta y directa, algo apresurada, donde termina narrando situaciones muy oscuras con cierta "lírica". Incluso entiendo que hay un apresuramiento en matizar al villano de la historia. La hipótesis de que las personas más "buenas y normales" pueden cometer hechos abominables, se trunca con la caricaturización extrema de este personaje "bueno y normal" que comete un hecho abominable. No sé, no sé... creo que no me entiendo con Foenkinos. Perdón. Quiero destacar que a varios les ha parecido una historia sensible con una escritura exquisita. A mí me dejó perpleja, pero no me hagan mucho caso.
Preludio: Esta novela podría separarse claramente en dos partes, a las que, siguiendo el sistema de Bolaño en 2666, se podrían denominar La parte de Antoine y La Parte de Camille; sobre la segunda no adelantaré nada.
"(Antoine) Había retrocedido a un estadio primario de la comprensión del mundo dejándose invadir a menudo por miedos irracionales. Sentía cada día más las consecuencias de los vivido."
Antoine se presenta como aspirante a un puesto guardia de museo en París. Ha dejado atrás su puesto de Profesor de Historia del Arte en una Universidad de Lyon. Me he sentido muy identificado con su vida de amor por el conocimiento de docente vocacional.
"La bulimia de conocimientos, en cierta manera, había dado densidad a su existencia." "La enseñanza promueve a veces una doble personalidad, pues consiste también representar un papel delante de los alumnos."
¿Qué le ha pasado? A lo largo de la novela se irá develando la historia, por momentos dolorosa, con párrafos luminosos, aunque teñidos de cierta tristeza.
Una muy buena historia, con personajes muy bien delineados y una excelente narración. Para mi gusto, tal vez se podría haber prescindido del Epílogo, si dudas reconfortante, a cambio de un final un poco más abierto; pero son gustos. *Spoiler reservado para quienes ya lo hayan leído:
Wow. Je suis retournée par cette lecture incroyable. J’ai commencé ce livre avec mille théories sur la vie de ce professeur à première vue perdu.
Finalement elles se sont toutes avérées fausses, et quelle plaisir de lire un livre avec autant d’inattendu. Et avec une plume à la fois magnifique et dramatique et tragique et triste et belle.
C’est parti à présent pour regarder mon plafond pendant deux heures en attendant patiemment de trouver un livre aussi prenant à lire.
Attention aux TW avant de vous lancer. C’est un livre superbe mais qui évoque des sujets très difficiles.
Tengo que decir que a pesar de ser un libro muy ligero, el contenido del mismo no lo es, de una manera muy sencilla el autor nos lleva a través de la resiliencia de un hombre que tiene que tocar fondo para al final encontrar el punto de apoyo para poder volver a salir a la superficie.
Además el libro nos cuenta la trágica historia de Camille una alumna de Antoine y poco a poco vamos conociendo la manera en que esta chica toca la vida de su profesor.
Lo cierto es que no tengo queja alguna del estilo de David Foenkinos, he leído varios libros de él y diga lo que diga, si sigo leyendo a este autor algo bueno debe tener para hacerme regresar a leerlo.
La cuestión aquí, es que siempre me quedo con el sentimiento de que algo me falta, tal vez, como en este caso, es que la historia tiene tanto de donde jalar, podría profundizar más y sin embargo se queda en un libro del tipo de “autoayuda� sin llegar a serlo realmente, me gustan las historias ligeras, me gustan las historias de supervivencia, pero no se, es que algo le ha faltado y no logro definir el qué, tan solo es que siento como que me queda a deber.
Más allá de eso, pues nada, la historia es ligera, el libro se lee literalmente en una sentada y tiene un final realmente agradable muy a pesar de la tragedia que se relata en ella.
"Către frumusețe" este un roman scris cu mare delicatețe ce cucerește printr-o scriitură subtilă. Avem de-a face cu un profesor la Academia de Arte frumoase din Paris, pasionat de pictura lui Modigliani, Antoine Duris, care, deși se află la apogeul carierei, lasă totul în urmă și începe o nouă viață angajându-se paznic la Muzeul Orsay.
El vrea să dispară într-un moment complicat din viața lui. Recent divorțat, vrea să înțeleagă de ce a fost părăsit de Louise, fosta soție, fiind în același timp marcat de o întâmplare tragică. O tânără studentă a sa, foarte talentată, pe nume Camille se sinucide. Antoine vrea să descopere ce stă în spatele deciziei fetei de a se sinucide și începe o anchetă.
Un roman cu multe referiri la arta modernă, dar și un roman al sufletelor zdorbite. O carte despre frumusețea artei care ne pătrunde și care are puterea de a ne face mai buni, care ne arată cât de importante sunt comunicarea, mai ales împărtășirea și destăinuirea cu rol vindecător.
Nu întâmplător autorul a ales drept motto al romanului acest adagiu al lui Dostoievski: «Frumusețea va salva lumea».
Conocí al autor gracias a su novela “El número dos�, y este es el segundo libro que leo, y desde ya, lo recomiendo. . Es alucinante como en unas pocas paginas , ha creado una gran historia, una historia de esas que te hacen reflexionar, te romperá un poquito por dentro y al final te recompone. . Una novela que trata unos temas � delicados, pero a su vez necesarios. . Es mejor ir a ciegas, al ser tan cortita no es necesario contar mucho, pero nuestro protagonista Antoine, profesor de arte que decide dejarlo todo, por varios sucesos que le ocurren y que irás descubriendo según avanza la historia. . Una libro dividido en cuatro partes y un epílogo, y no en todas el protagonista es el mismo� la tercera parte es la que da un giro de esos que tienes que seguir leyendo para saber que esta pasando� . El título, el título dice mucho, y es que detrás de todo lo malo, siempre hay algo bueno� y de verdad , es una historia que merece la pena, con unos personajes que pese a todo empatizas con ellos� . Acabo como empecé, recomendando la novela.
La boule au bide, la gorge serrée, les pensées noires ; bref, ce livre n’avait pas l’ambiance du siècle mais j’ai adoré. Le mal-être était bien présent du début à la fin: la troisième partie était pour moi la meilleure et la pire. Et j’aime beaucoup le style d’écriture de cet auteur, je trouve que ça fait tout. La fin est très poétique, j’ai été émue. Bref, je m’attendais à un 5 étoiles après les avis lus (dont le tien é!!), j’avais très hâte, et je n’ai vraiment pas été déçue.
було неймовірно боляче читати другу половини книжки. я хотіла навіть її відкласти, бо усвідомлювати наскільки хворі бажання однієї людини можуть зламати життя іншої людини до неможливості боляче.
попри це, ця книжка була витонченою і красивою.
була й моментами передбачуваною і в один момент повірити я не змогла.
але це було чуттєво, дуже. і тут справді було багато краси.
"Antoine Duris est professeur aux Beaux-Arts de Lyon. Du jour au lendemain, il décide de tout quitter pour devenir gardien de salle au musée d'Orsay. Personne ne comprend cette surprenante reconversion de la part d'un spécialiste de Modigliani. Qu'a-t-il vécu pour fuir ainsi ?"
La quatrième de couverture de "Vers la beauté", roman du célèbre David Foenkinos, semble nous promettre un récit mêlant art et psychologie. Il se divise en quatre parties distinctes qu'on pourrait résumer rapidement comme suit : la première est une situation initiale, où l'on découvre Antoine Duris dans son nouveau poste de gardien de salle et, en fin de partie, la tombe d'une mystérieuse "Camille Perottin", la seconde est un retour en arrière qui nous permet de revenir sur la séparation d'Antoine avec Louise, son ex, et ses conséquences, la troisième partie nous fait passer au point de vue de Camille et nous aide à comprendre comment elle a fini sous terre. In fine, la quatrième partie est le dénouement.
Je n'ai pas aimé cette lecture. J'ai essayé de l'aimer, au début, mais c'était avant de me rendre compte que ce livre n'était pas du tout ce à quoi je m'attendais. Je voulais de l'art et le musée d'Orsay. Ce n'est pas ce que j'ai eu, contrairement à ce que nous promet la quatrième de couverture, et je suis consciente que ce décalage attentes/réalité a contribué à mon malaise. Mais je suis sûre qu'il n'en était pas le seul facteur. Bon.
Déjà, la plume de Foenkinos n'a rien d'exceptionnel. Il fait de belles métaphores. Il ne suffit pas de faire de belles métaphores pour avoir un excellent style. Mais il fait de belles métaphores - il en abuse peut-être même un peu. Je le relève parce que je vois beaucoup de revues vantant les mérites stylistiques de l'auteur. D'ailleurs, les notes de bas de page qui font intégralement part du récit, pour caser ce qu'on a pas réussi à caser dans le texte... Je vois ça comme une admission de faiblesse.
Ensuite, niveau intrigue, je vais me focaliser sur le récit à partir de la seconde partie parce que j'ai lu la première partie il y a quelques mois déjà et que ce n'est plus assez frais dans ma mémoire. Comment décrire mon malaise pendant la seconde partie, où après sa rupture avec Louise, Antoine voit tout individu doté de chromosomes XX comme des bouts de viande ? Pas des intérêts romantiques, attention, mais bien des intérêts sexuels. Hormis sa sœur, bien sûr... Foenkinos a tout de même eu la décence de tracer une limite à l'inceste. Bon, ça aurait pu être intéressant de voir cet homme incapable de passer autre chose, hanté par le fantôme de l'amour... Mais il y avait quelque chose de gênant. Un grand malaise. Un décalage avec l'Antoine de la première partie. Une déshumanisation pendant les scènes érotiques. Et pas d'art. Il n'y avait pas d'art. Pas de musée. Pas de beauté. Je me dis que ça aurait pu plaire à quelqu'un qui aurait voulu le lire ; je ne voulais pas lire ça. Je voulais lire sur un gardien de salle au musée d'Orsay, sur l'art, sur Modigliani, et sur la beauté. La troisième partie nous conte le récit de Camille, lycéenne au départ, et de son voyage vers la dépression. Une dépression causée par le viol qu'elle a subi de la part de son professeur d'art alors qu'elle avait 16 ans. Bon, que dire de cette partie ? Pourquoi ne pas avoir mis de TW ? J'aurais aimé savoir à quoi m'attendre, que ce roman ne parlait pas d'art mais traitait - assez maladroitement - du viol et de ses conséquences. Que ce roman proposait des passages passés au point de vue du violeur où il arrive à se demander pourquoi sa victime ne lui dit bonjour ni lui sourit quand ils se croisent. Que les scènes sont graphiques. Et que d'un point de vue de l'intrigue, hors propos du livre, c'est très facile. D'ailleurs, on ne comprend pas bien le lien qui se forme entre Antoine et Camille. C'est rapide, expéditif, et ça ne sert aucunement à justifier l'état d'Antoine au début du livre (qui est, quand même, l'intérêt principal du roman). Et le hors sujet sur la copie... Bon. C'est très facile aussi. Peu réaliste. On dirait que l'auteur a eu l'idée en écrivant, ne savait pas trop où aller, comment justifier le malaise d'Antoine.
Je comprends l'intention du livre, mais le message porté reste en surface. Tout est encore à creuser. Et si on veut parler du viol et de la dépression, le trou peut être très profond. Qu'est-ce que ce livre apporte, donc ? Pas grand chose. Peut-être un traumatisme parce que vous vous attendiez à un livre sur l'art et que vous finissez sur un livre qui traite de viol et de suicide, de manière très crue, sans être prévenue.
"Hors sujet, cela veut dire qu'on est exclu de soi-même. Nous sommes un sujet, et subitement on ne veut plus de vous? Le hors sujet, c'est la mort".
Finalement, le roman aussi était hors sujet. Que ce soit par rapport à la promesse qu'il nous fait (l'art, le mystère d'Antoine) ou par la maladresse avec laquelle il traite ses sujets (viol et dépression), c'est un hors sujet total. Ecrit en rouge et souligné d'un trait.
Bon après une légère panne de lecture� je l’ai fini mais je sais pas trop quoi penser. Bon déjà c’est très perturbant de lire l’histoire d’une fille qui a pratiquement le même nom et prénom que toi et qu’en plus tu as l’impression que l’auteur te décrit à certains moments. En fait soit j’ai adoré certains passages soit les autres passages m’ont pas spécialement plu et m’ont ennuyés même. J’ai trouvé déjà le début assez long et en fait j’arrive pas trop quand même à voir le lien entre antoine et Camille même si c’est décrit je trouve qu’il y a des passages inutiles pour Antoine et j’arrive pas vrmt a comprendre pourquoi leur vie est décrite séparément et après on dirait qu’il y’a un lien fort entre eux vu comment antoine réagit mais je l’ai pas vraiment ressentie, en fait je suis toujours mitigée mais je pense avoir qd même bien aimé 😭
Я чула, що цей роман пов’язани� з Модільяні. Занурючись в текст, ти дізнаєшся, що головний герой Антуан кидає успішну викладацьку роботу в мистецькій школі і влаштовується простим доглядачем до музею Орсе в Парижі. Чому він це робить? Чому так кардинально змінює своє житті? Від чого ховається? Відповіді на ці питання вам покажуть, що роман зовсім не про Модільяні, а Антуан - навіть ��е найголовніший герой.
Très déçue autant par la qualité de l’écriture que la consistance de l’histoire sans oublier ces notes de bas de page qui visent probablement à instituer une connivence avec le lecteur (c’est la seule explication que je donne à leur existence) et qui ne sont ni drôles ni pertinentes. Bref, un roman de gare ...
Me gustaría que cuando se hable de ciertos temas en los libros se dijera, porque me dejó el libro bastante fastidiada, por favor los lectores somos sensibles, yo al menos, cuando en un libro hay un suicidio, me gustaría que se avisará, es un tema delicado y no me parece que en un libro que se titula hacia la belleza salga este tema..Siento mucho si destrispo el libro, pero bien fastidiada me dejó a mi el libro ..
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Y para 2024 las chicas Foenkinos han vuelto con David Foenkinos. Este grupo empezó con este autor y esta es la tercera novela que leemos de él y puedo decir que de momento ha sido la que más me ha gustado. Ha superado “Número Dos� y me ha reconciliado con este autor después de “La Delicadeza�. Desde luego no creo que sea la última novela de Foenkinos que leemos, ya que su prosa tiene algo con lo que conectamos y sus historias siempre nos dan mucho que pensar y comentar.
Es posible que el museo de Orsay nunca haya tenido un vigilante de sala tan bien preparado como Antoine Duris. Este ha dejado de un día para otro su vida como profesor de historia del arte en una prestigiosa Universidad de Lyon sin dar ningún tipo de explicación a sus más allegados. En su nuevo trabajo conocerá a Mathilde, la encargada de recursos humanos. La amistad entre los dos ayudará a que Antoine enfrente la crisis existencial en la que está inmerso, producida por ciertos sucesos y relaciones que han dejado una huella profunda en él.
Desde la primera linea del libro uno percibe que esta va a ser una historia muy Foenkinos, con un protagonista muy perdido en la magnitud de la vida y muy angustiado y una trama muy sencillita y centrada en los personajes. Y es que este autor tiene un estilo único y reconocible, tierno y sencillo. Siempre me encantará como consigue hacer obras también asentadas y creíbles a partir de bases aparentemente tan anodinas y simples, la manera en que consigue que fluyan tan bien. La trama de esta obra, una vez más, es la de una historia tranquila, sencilla, melancólica, pero que a la vez tiene algo profundamente optimista que va desplegándose ante el lector a medida que va leyendo. Y todo eso manteniendo ese aire tan francés, que hemos leído de él en sus anteriores trabajos, melancólico e intimista, esa fuerza tan sencilla y simple con la que consigue meterse la psicología de sus personajes y arrastrarnos hacia ella lenta e implacablemente mientras leemos.
La verdad es que para mí el libro va de menos más, es un texto que empieza de una manera que obliga al lector a recolocarse para poder seguirla, un poco a poco. Pero desde el principio te deja con la inquietud de saber exactamente qué fue lo que le pasó a Antoine para dejar su trabajo y fugarse a París. Sabemos que está deprimido, pero Foenkinos se toma su tiempo para ahondar más en su vida pasada y desarrollar la relación que Antoine va a establecer con su jefa Mathilde. El autor francés consigue que las piezas vayan encajando y que la historia se convierta en algo muy solvente capitulo a capitulo, creando arcos evolutivos para sus personajes muy bien forjados y creíbles. Me gusto la forma en que el autor los va a acercando, como dos personajes tan diferentes el uno de la otra gravitan y parece que están destinados a conectar de alguna forma. Como el arte y su amor por él de alguna forma también les conecta. Se nota que ese tema le toca mucho a Foenkinos. Tiene una forma de conectar al lector con el arte que ven los personajes y con la vida del pintor que resulta muy cerca a y muy bonita.
Antoine, en un principio, es un personaje muy Foenkinos, uno más de esos protas muy metidos en su mundo, depresivos y con tendencia a encerrarse en si mismos. A mi, por lo menos, me desperto mucho instinto protector. Al menos al principio de la historia, porque a lo largo de la misma encontramos que no es solo todo lo que reluce, y que tuvo algún comportamiento que sin ser (la bestialidad la deja el autor para más adelante) si resulta ciertamente incómodo. Pero una vez cerrado el libro valoré mucho esto, porque daba mucha profundidad al personaje y bastantes capas de profundidad a su desarrollo.
Sin embargo, no será hacia la mitad de esta novela cuando el autor nos regale un giro de guion que convertirá la odisea personal de este profesor perdido en sus propios traumas en una historia más oscura y truculenta. La aparición de cierto personaje podría resultar, a primera vista, un tanto abrupta, pero lejos de resultar forzada será la que de otra perspectiva al libro y se convierta en su motor emocional. Me ha gustado mucho la forma tan natural y diestra con que Foenkinos manejado el cambio de narrador y de perspectiva dentro de la obra. Y como se ha dicho antes, lo ha hecho de tal forma que no resulta pesada, incómoda y abrupta, sino que todo es muy orgánico. y antes de que digáis nada, os aseguro que es mucho mejor no tener ninguna pista de quién podría tratarse. De alguna manera eso hace que la historia fluya mejor y os sorprenda.
En “Hacia la Belleza� Foenkinos trata temas duros de una forma simple, pero contundente, Temas, que yo no había visto en ninguna de las anteriores novelas que he leído escritas por él. Foenkinos enfrenta al que lee a lo que supone tratar de salir adelante cuando se sobrevive a un episodio atroz y traumatico, la depresión y asco que genera en uno y lo difícil que se hace continuar. Está claro que este autor sabe lo que es la depresión por la forma en la que lo describe. Una de las cosas que más me gusta de este hombre y me conectan a él como narrador es como habla de la pena y del dolor, la forma en que trata con simpatía y cariño a unos personajes, que están muy perdidos en un mundo inmenso por las circunstancias que sean. Y aquí en ese sentido da totalmente en el clavo. El duelo del que nos habla en “Hacia la Belleza� no es uniforme ni lineal, tiene diversas etapas y envuelve a todos aquellos que la rodean incluso que no sepan qué es lo que le está sucediendo a esa persona, despersonaliza y masacra comp un cancer por dentro. Es un monstruo que te devora día y día también, que te arrastra hacia lo más hondo de las tinieblas, y con el que uno debe convivir.
Y lo más angustioso de todo eso es que con breves pinceladas Foenkinos también nos lleva hacia la otra cara de la moneda, hacia los sentimientos de la persona causante de tal horror y sufrimiento. Un dolor que se genera por la vanal necesidad de sobrellevar una existencia mediocre. Se me revolvió el estómago cuando el autor ponía el foco en eso y desarrollaba la forma de pensar y sentir de un autentico depredador. Me ha sorprendido como el autor ha conseguido que fluyan la forma de pensar y los patrones de comportamiento de ese personaje, la manera como ha logrado meternos en su mente. Ha sido angustioso desde fuera, pero muy bien llevado. increíble, magistrada la forma en que uno consiga que desde fuera, vea lo repugnante y terrible que es, pero a la vez hacernos comprender la forma en que ese carácter se disculpa y Auto justifica, como intenta protegerse y manipula y destroza, sin compasión.
Con “Hacia la Belleza� David Foenkinos vez más, me has conquistado por la manera en que crea historias aparentemente anodinas y sencillas, pero es capaz de darles muchos matices y capaz, convertir la experiencia lectora en algo más complejo de lo que parezca primera vista. Creo que es una historia que va de menos a más, con un principio que a mí me dejó un tanto fría. Pero que a medida que la trama va avanzando y van encajando las piezas del puzzle todo cobra sentido y la historia gana en profundidad, contenido y estabilidad. Foenkinos tiene un ritmo narrativo ágil y fluido, pero sabe llevar muy bien el equilibrio entre una prosa amena, sencilla y relativamente rápida, y la capacidad de incidir en el mundo interior y los sentimientos de sus personajes. Su pluma va directa al grano, pero a la vez incide en los pequeños detalles, en las sensaciones y las percepciones, dedicando a cada elemento el tiempo preciso, sin apresurar ni obviar nada. Lo que cuenta el autor francés entre sus páginas es muy duro, en varios momentos resulta angustioso, pero su desenlace, sin dejar de ser melancólico, tiene atisbos de optimismo y esperanza, es a su manera tierno y profundo y logra impactar en el lector. Y como me ha hecho, por lo menos a mí, reflexionar en el impacto que las pequeñas cosas y los encuentros casuales pueden tener en la vida de uno, como algo el principio puede parecer simple, acaba por convertirse en algo determinante. pero en serio, si bien Antoine me había desubicado mucho en la segunda meta con esto he logrado conectar bastante con él y empatizar en su sentimiento de culpa. También me ha gustado mucho que lo más tópico hubiera sido que Foenkinos hubiera convertido la relación entre Antoine y el personaje que os he mencionado más arriba (en serio, disfrutáis mucho más el libro si no sabéis quién es) en algo romántico-sexual. Pero prefiere convertir el vínculo en algo más útil, basado en el compañerismo, la conexión y una relación basada en el amor hacia el arte y la belleza, que hace que todo resulte más original y tierno. Porque al final eso es el libro, una oda hacia el arte y hacia la belleza, y todo lo que eso conlleva.
En conclusión, “Hacia la Belleza� me ha gustado mucho. Es un libro que se lee solo, y con un mensaje conmovedor impactante que nos habla de segundas oportunidades, de empatía, de conexión, de la depresión y de cómo el arte tiene algo sanador tanto si uno se limita a disfrutarlo y a observarlo como si se trabaja con él para expresar lo que sucede en el mundo interior de uno. Es una historia tierna y acogedora ,protagonizada por personajes que conmueven por los humanos que resultan y por el arco evolutivo que tienen.
Tenía pendiente a este escritor de quien tantas buenas críticas había leído. Me gustó mucho su estilo y por eso la valoración. La historia de Camille resultó dura y realmente me conmovió. No le encontré mucha fuerza al lazo entre la historia de ella y de Antoine, pero resultó un bonito acto. Para pasar el rato y leer algo ligero está muy bien.
mon préféré de Foenkinos à ce jour. ça fait des années que je dois le lire, je savais qu'il serait bouleversant mais peut-être pas à ce point. je m'étais spoil l'un des thèmes principaux du livre et bien heureusement, car au moins, je m'y attendais. cela n'a en rien enlevé la dureté du chapitre 11 de la 3e partie... c'était absolument horrible à lire. une histoire profondément touchante, dure mais d'une grande beauté.
� "elle n'était pas morte, mais elle ne vivait pas. elle survivait."