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“The Empress Marie-Louise once asked me if I believed in ghosts.
'I find it hard to believe in something I've never seen,' I told her.
But perhaps ghosts aren't meant to be seen. Perhaps they are meant to be felt.”
― Michelle Moran, The Second Empress: A Novel of Napoleon's Court

“Amy wondered if Bonaparte could declare war on Miss Gwen alone without breaking his peace with England”
― Lauren Willig, The Secret History of the Pink Carnation

“Je ne trouve de noblesse que dans la canaille que J'ai négligée, et de canaille que dans la noblesse que J'ai faite. (Napoléon Bonaparte)”
― Eric Zemmour, Le suicide français

“Ce siècle avait deux ans ! Rome remplaçait Sparte,
Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte,
Et du premier consul, déjà, par maint endroit,
Le front de l'empereur brisait le masque étroit.
Alors dans Besançon, vieille ville espagnole,
Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole,
Naquit d'un sang breton et lorrain à la fois
Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix ;
Si débile qu'il fut, ainsi qu'une chimère,
Abandonné de tous, excepté de sa mère,
Et que son cou ployé comme un frêle roseau
Fit faire en même temps sa bière et son berceau.
Cet enfant que la vie effaçait de son livre,
Et qui n'avait pas même un lendemain à vivre,
C'est moi. -”
― Victor Hugo, Les Orientales - Les Feuilles d'automne

“Ce siècle avait deux ans, Rome remplaçait Sparte
Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte
Et du premier consul, déjà par maint endroit
Le front de l'empereur brisait le masque étroit”
― Victor Hugo

“Historians are lenient to those who succeed and stern to those who fail; in this, and this alone, they display strong political sense.”
― J. Christopher Herold, Bonaparte in Egypt

“- Oh ! Franz, ce que tu peux être poule mouillée parois ! Tu n’as donc pas envie de participer à ce grand bouleversement qui se prépare, de sortir de ta cage, de prendre ton envol ? Rappelle-toi que tu es le fils d’un Aigle ! Où sont tes ailes ?
- Je ne suis pas le fils d’un Aigle, mais d’un vautour, qui pendant vingt ans s’est nourri de cadavres. Du moins c’est ainsi qu’on me le présente ici.”
― Jean-Marc Ligny, La Dame Blanche

“- Oh ! Franz, ce que tu peux être poule mouillée parfois ! Tu n’as donc pas envie de participer à ce grand bouleversement qui se prépare, de sortir de ta cage, de prendre ton envol ? Rappelle-toi que tu es le fils d’un Aigle ! Où sont tes ailes ?
- Je ne suis pas le fils d’un Aigle, mais d’un vautour, qui pendant vingt ans s’est nourri de cadavres. Du moins c’est ainsi qu’on me le présente ici.”
― Jean-Marc Ligny, La Dame Blanche