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“You live on love crumbs. A nibble drops, you gobble up the morsel. The crumb sustains you until he gives you another. Don't you believe you deserve the whole loaf ? " - A Dress the Color of the Sky”
― Jennifer Irwin

“Il est dans le caractère français de s'enthousiasmer, de se colérer, de se passionner pour le météore du moment, pour les bâtons flottants de l'actualité. Les êtres collectifs, les peuples, seraient-ils donc sans mémoire?”
― Honoré de Balzac, Eugénie Grandet

“Een sociaal fenomeen blijft duren totdat het geen enkele functie meer vervuld.”
― Jean Pierre Van Rossem

“L'être humain est grégaire par nécessité. Les hommes des cavernes, nus et faibles, armés de leur seule ruse, n'ont survécu qu'en se rassemblant en communautés, sachant, comme tant d'autres espèces comestibles, que leur nombre les protégerait. Cette conscience, profondément ancrée dans l'âme humaine, est à la base du comportement des masses. Pendant des millénaires, celui qui osait se démarquer du groupe, sans parler de s'y opposer, se condamnait à mort. Faire face seul à une foule demande plus que du courage, car il faut surmonter sont instinct de survie.”
― Diana Gabaldon

“Être parent dans un quartier populaire, c`est aussi être stigmatisé par les institutions, être considéré comme incapable de bien élever ses enfants et coupable de reproduire des schémas familiaux archaïques et rétrogrades. Les parents des quartiers populaires sont, selon la formule consacrée, . C'est ainsi que les médias les décrivent depuis les révoltes populaires de 2005 - démissionnaires, mais aussi < polygames >, < dépas- sés par les événements >, < faisant trop d'enfants >,”
― Fatima Ouassak, La puissance des mères

“Les mères des quartiers populaires sont sollicitées pour faire les gateaux de la kermesse de fin d'année, pas pour philosopher à propos de l'impact des élevages sur le réchauffement climatique.”
― Fatima Ouassak, La puissance des mères

“L’œuvre d’art ne prend un sens et ne revêt un intérêt que pour celui qui est pourvu du code selon lequel elle est codée. [...] Le spectateur dépourvu du code spécifique se sent submergé, «noyé», devant ce qui lui apparaît comme un chaos de sons et de rythmes, de couleurs et de lignes sans rime ni raison.”
― Pierre Bourdieu, La distinction - critique sociale du jugement