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“I sit with Shakespeare and he winces not. Across the color-line I move arm in arm with Balzac and Dumas, where smiling men and welcoming women glide in gilded halls. From out the caves of the evening that swing between the strong-limbed earth and the tracery of the stars, I summon Aristotle and Aurelius... and they come all graciously with no scorn nor condescension. So, wed with Truth, I dwell above the Veil.”
― W.E.B. Du Bois, The Souls of Black Folk

“Fernand," cried he, "of my hundred names I need only tell you one, to overwhelm you! But you guess it now do you not? - or, rather, you remember it? For notwithstanding all my sorrows and my tortures, I show you today a face which the happiness of revenge makes young again..”
― Dumas, Alexandre, The Count of Monte Cristo

“Des par tous et tous par un.”
― Alexandre Dumas

“The gloomy light, the silence and the awful poetry of night had no doubt combined with the fearful poetry of her conscience: the poisoner was afraid to see her work.”
― Alexandre Dumas, The Count of Monte Cristo

“Monte Cristo raised his eyes heavenwards but could not see the heavens: there was a veil of stone between him and the firmament.”
― Alexandre Dumas, The Count of Monte Cristo

“When I asked you if you were consoled, I was speaking to you as a man for whom the human heart holds no secrets. Well, then, Morrel, let us sound the depths of your heart. Is it still that ardent impatience of pain that makes the body leap like a lion bitten by a mosquito? Is it still that raging thirst that can be sated only in the tomb? Is it that ideal notion of regret that launches the living man out of life in pursuit of death? Or is it merely the prostration of exhausted courage, the ennui that stifles the ray of hope as it tries to shine? Is it the loss of memory, bringing an impotence of tears? Oh, my friend, if it is that, if you can no longer weep, if you think your numbed heart is dead, if you have no strength left except in God and no eyes except for heaven â€� then, my friend, let us put aside words that are too narrow to contain the meanings our soul would give them. Maximilien, you are consoled, pity yourself no longer.”
― Alexandre Dumas, The Count of Monte Cristo

“Haydée addressed her with a heartrending expression on her face: ‘How do you expect him to understand me, my sister? He is my master, and I his slave. He has the right to see nothing.â€�

The count shuddered at the tone of this voice, which awoke the deepest fibres of his being.”
― Alexandre Dumas, The Count of Monte Cristo

“I suppose my attitude toward the creative process is much like that of Alexandre Dumas pere when he was approached by a young aspirant who boasted that he was going to write a novel much better than either “The Three Musketeersâ€� or “The Count of Monte Cristoâ€�.
‘Have you an attractive setting?� the veteran writer asked politely, and the young man replied: ‘The greatest! Ominous islands. Gleaming castles. Wooded glens with gracious mansions.�
‘Have you interesting characters?�
‘Kings and princesses and dubious cardinals.�
‘But have you a logical plot to tie this together?�
‘A most ingenious one. Twists and turns that will bewilder and delight.�
Said Dumas: ‘Young man, you’re in excellent shape. Now all you need are two hundred thousand words, and they’d better be all the right ones.’�
—Chapter IX, “Intellectual Equipmentâ€�, pages 311-312”
― James A. Michener, The World Is My Home a Memoir

“La musique qui enivrait les huguenots, c'était la voix de leur orgueil.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome I

“Qui donc me parlait, pensa-t-il, de cette é³Ù¾±±ç³Ü±ð³Ù³Ù±ð si sévère ? On va et on vient dans ce palais comme sur une place publique.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome I

“Ah ! si quelqu'un venait me dire : Sire, vous serez débarrassé de tous vos ennemis à la fois, et demain il n'en restera pas un pour vous reprocher la mort des autres, ah ! alors je ne dis pas !”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome I

“Bientôt son pourpoint devint trop serré pour les battements de son cÅ“ur, et il l'arracha. Bientôt son épée devint trop lourde pour sa main, et il la jeta loin de lui.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome I

“Catherine ne répondit point. Elle tourna lentement son regard vers la tapisserie contre laquelle il était appuyé. Alors elle ramena sur Charles un Å“il qui voulait dire : Alors, pourquoi vit-il ?
-Il vit... il vit... murmura Charles IX, qui comprenait parfaitement ce regard et qui y répondait, comme on le voit, sans hésitation ; il vit, parce qu'il... est mon parent.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome I

“Ma chère amie, nous autres femmes, nous sommes tellement païennes, qu'en fait de sectes nous les admettons toutes, qu'en fait de dieux nous en reconnaissons plusieurs.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome I

“La Mole, mince, pâle et élégant, avait la beauté de la distinction ; Coconnas, vigoureux, bien découpé, haut en couleur, avait la beauté de la force.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome I

“Oh ! oh ! di Henri ; encore quelqu'un ? En vérité, ce cabinet est si souvent habité qu'il rend votre chambre inhabitable.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome I

“Oh ! oh ! dit Henri ; encore quelqu'un ? En vérité, ce cabinet est si souvent habité qu'il rend votre chambre inhabitable.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome I

“Tout ce bruit, tout ce fracas fit monter une rougeur à ses joues pâles, son cÅ“ur se gonfla, Charles fut jeune et heureux pendant une seconde.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome I

“Elle est heureuse, la reine de Navarre, murmura Catherine, elle a des amies et elle est reine ; elle porte une couronne, on l'appelle Votre Majesté, et elle n'a pas de sujets ; elle est bien heureuse.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome I

“Elle est heureuse, la reine de Navarre, murmura Catherine, elle a des amies et elle est reine ; elle porte une couronne, on l'appelle Votre Majesté, et elle n'a pas de sujets ; elle est bien heureuse”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome II

“Je disais que je n'aimais personne... je me trompais, j'aime Henriot ; oui, je l'aime, ce bon Henriot : il a l'air franc, la main tiède, tandis que je ne vois autour de moi que des yeux faux et ne touche que des mains glacées.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome II

“Je vous aime plus que toutes les femmes, mais j'aime La Mole plus que tous les hommes.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome II

“[...] Ce pauvre Actéon est mort. Il faudra, demain matin, le faire enterrer dans un coin du jardin du Louvre. C'était un de mes meilleurs amis... Je lui ferai faire un tombeau... Si j'en ai le temps.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome II

“Souffre donc la mort de ton amant ; c'est peu pour sauver l'honneur de la maison de France. Je souffre bien la mort pour que le secret meure avec moi.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome II

“La mort n'avait pas désuni leurs mains, car, soit hasard, soit pieuse attention du bourreau, la main droite de La Mole reposait dans la main gauche de Coconnas.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome II

“Charles, en l'apercevant, traversa chancelant le flot doré qui l'entourait.
- Ma sœur, dit-il tout haut, je vous remercie.
Puis tout bas :
- Prenez garde ! dit-il, vous avez au bras une tache de sang.
- Ah ! qu'importe, Sire, dit Marguerite, pourvu que j'aie le sourire sur les lèvres !”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome II

“- Insensé, murmura Catherine exaspérée, crois-moi, ne joue pas avec Catherine ce terrible jeu de la vie et de la mort.
- Pourquoi pas ? dit Henri en regardant fixement Catherine ; pourquoi pas avec vous aussi bien qu'avec une autre, puisque j'y ai gagné jusqu'à présent ?”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome II

“Il n'y a que la haine, ma chère, qui fasse faire autant de sottises que l'amour.”
― Alexandre Dumas, La Reine Margot, Tome II

“Non, mais convenez au moins qu'on a mauvaise grâce de n'offrir au Seigneur que ce dont on est parfaitement dégoûté. Ai-je raison, d'Artagnan ?”
― Alexandre Dumas, The Three Musketeers

“Comment ! tu vends mon cheval, dit Athos, tu vends mon Bajazet ? Et sur quoi ferai-je la campagne ? Sur Grimaud ?”
― Alexandre Dumas, The Three Musketeers