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Famille Quotes

Quotes tagged as "famille" Showing 1-25 of 25
Frédéric Beigbeder
“Une famille, c'est un groupe de gens qui n'arrivent pas à communiquer, mais s'interrompent très bruyamment, s'exaspèrent mutuellement, comparent les diplômes de leurs enfants comme la décoration de leurs maisons, et se déchirent l'³óé°ù¾±³Ù²¹²µ±ð de parents dont le cadavre est encore tiède.”
Frédéric Beigbeder, Un roman français

Jean-Michel Guenassia
“« On ne raconte pas aux enfants ce qui s'est ±è²¹²õ²õé avant eux. d'abord ils sont trop petits pour comprendre, ensuite ils sont trop grands pour écouter, puis ils n'ont plus le temps, après c'est trop tard. C'et le propre de la vie de famille. On vit côte à côte comme si on se connaissait mais on ignore tout les uns des autres. On espère des miracles de notre consanguinité : des harmonies impossibles, des confidences absolues, des fusions viscérales. On se contente du mensonge rassurant de notre parenté. »”
Jean-Michel Guenassia

Delphine de Vigan
“Noël est un mensonge qui réunit les familles autour d'un arbre mort recouvert de lumières, un mensonge tissé de conversations insipides, enfoui sous des kilos de crème au beurre, un mensonge auquel personne ne croit.”
Delphine de Vigan, No and Me

Jean-Michel Guenassia
“On ne raconte pas aux enfants ce qui s'est ±è²¹²õ²õé avant eux. D'abord ils sont trop petits pour comprendre, ensuite ils sont trop grands pour écouter, puis ils n'ont plus le temps, après c'est trop tard. C'est le propre de la vie de famille. On vit côte à côte comme si on se connaissait mais on ignore tout les uns des autres.”
Jean-Michel Guenassia

Vincent Fortier
“Les arbres savent quand un des leurs a soif et ils savent aussi comment rediriger l’eau vers lui. Ils sont solidaires. Ils peuvent se prévenir l’un l’autre du danger, des prédateurs, assurer la survie du groupe dans son ensemble. Tout part des racines, des origines, mais le message transite par les racines secondaires et les radicelles, qui sont plus fines, s’étendent plus loin. Tout se fait en chuchotant à travers le réseau souterrain de champignons, le mycélium, ce que tout le monde croit pourri, oui.”
Vincent Fortier, Les racines secondaires

Vincent Fortier
“Nous sommes une ³¦´Ç³¾³¾³Ü²Ô²¹³Ü³Ùé parce que nous avons une ³¾Ã©³¾´Ç¾±°ù±ð. Parce que nous partageons des souvenirs, des savoirs qui ne nous ont pas été enseignés ou légués par nos familles.”
Vincent Fortier, Les racines secondaires

Oscar Wilde
“Les enfants commencent par aimer leurs parents ; en vieillissant ils les jugent ; quelquefois ils les oublient.”
Oscar Wilde, The Picture of Dorian Gray

Oscar Wilde
“Les enfants commencent par aimer leurs parents ; devenus grands, ils les jugent ; quelquefois, ils leur pardonnent.”
Oscar Wilde, The Picture of Dorian Gray

Mary Fleureau
“Dans un coin de la cuisine, une couronne de fleurs fanées lutte pour sortir de la poubelle. Will traverse la pièce, enfonce le couvercle. À ses pieds, les pétales qui dépassaient, brisés, chutent en silence sur le carrelage froid. Il se laisse tomber sur une chaise en leur jetant un regard haineux. On lui a dit que les chrysanthèmes ne fanaient pas.”
Mary Fleureau, L'Autre Côté

“Parce que de nos jours ses membres que nous appelons amis,camarade,amoureux,associé.Ceux qui marque votre vie,Celle qui marque vos pensée et qui touche votre coeur ses liens complexe sont bien plus.Je me souviens Ses année ou la technologie n'étais Reine et ou l'esprit étais Roi.Liberer de cette technologie si chérie quelle avanie. Je me souviens Marty B.M”
Marty Bisson milo

Clement of Alexandria
“Voilà pourquoi il faut, dit l'apôtre, n'instituer 鱹ê±ç³Ü±ð²õ que ceux qui se sont préparés, par le gouvernement de la famille, au gouvernement de l'Église entière.”
Clement of Alexandria, Miscellanies

Anna Gavalda
“Je peux pas faire reset. Je ne peux pas. Mon enfance, c'est un poison que j'ai dans le sang et y a que quand je serai morte que j'en souffrirai plus. Mon enfance, c'est moi, et comme mon enfance ne vaut rien, moi, derrière, j'ai beau essayer de la contrecarrer de toutes mes forces, je ne fais jamais le poids.”
Anna Gavalda

Benoîte Groult
“La mort des parents ne devient définitive que le jour où leur enfants ne sont plus là pour les évoquer. Alors la ³¾Ã©³¾´Ç¾±°ù±ð de ce qu'ils étaient vraiment s'abolit. Ils survivront, brumeux, dans les souvenirs de leurs petits-enfants, qui ne les auront connus que vieux”
Benoîte Groult, La Touche étoile

Annie Ernaux
“Ce qu'elle prend pour de vraies pensées lui vient quand elle est seule ou en promenant l'enfant. Les vraies pensées ne sont pas pour elle des réflexions sur les façons de parler et de s'habiller des gens, la hauteur des trottoirs pour la poussette, l'interdiction des Paravents de Jean Genet et la guerre au Vietnam, mais des questions sur elle-même, l'être et l'avoir, l'existence. C'est l'approfondissement de sensations fugitives, impossibles à communiquer aux autres, tout ce que, si elle avait le temps d'écrire - elle n'a même plus celui de lire -, serait la matière de son livre. Dans son journal intime, qu'elle ouvre très rarement comme s'il constituait une menace contre la cellule familiale, qu'elle n'ait plus le droit à l'intériorité, elle a noté : "Je n'ai plus d'idées du tout. Je n'essaie plus d'expliquer ma vie" et "je suis une petite-bourgeoise arrivée."
Elle a l'impression d'avoir dévié de ses buts antérieurs, de n'être plus que dans une progression matérielle. "J'ai peur de m'installer dans cette vie calme et confortable, d'avoir vécu sans m'en rendre compte". Au moment même où elle fait ce constat, elle sait qu'elle n'est pas prête à renoncer à tout ce qui ne figure jamais dans ce journal intime, cette vie ensemble, cette intimité partagée dans un même endroit, l'appartement qu'elle a hâte de retrouver les cours finis, le sommeil à deux, le grésillement du rasoir électrique le matin, le conte des Trois petits cochons le soir, cette répétition qu'elle croit détester et qui l'attache, dont un éloignement momentané de trois jours pour passer le Capes lui a fait sentir le manque - tout ce qui, quand elle en imagine la perte accidentelle, lui serre le coeur.”
Annie Ernaux, Les Années

“Tout ce qu'on a, nous, c'est le fruit de notre travail. Même quand ils vous feront sentir que vous êtes inférieurs à eux. Ne vous laissez jamais faire!”
Lucie Quéméner, Baume du Tigre

Gaëlle Josse
“Mais, grand-frère, nous le savons tous les deux que ça ne veut rien dire, faire son deuil, que c'est une expression pour les magazines, on continue à marcher avec nos morts sur les épaules, avec nos ombres, et rien d'autre. Nous le savons que, chaque matin, il faut se rassembler, se lever, se mettre en marche, quoi qu'il en coûte. Que la douleur est un archipel dont on n'a jamais fini d'explorer les passes et les courants. Qu'elle est inépuisable. Lente, féroce et patiente comme un fauve.”
Gaëlle Josse, La nuit des pères

“A cet égard , je trouve cela curieux l’amour d’une ³¾Ã¨°ù±ð. C’est quelque chose qui vous contient tout entier, durant neuf mois - puis qui vous lâche. Pas le choix â€� ni pour elle, ni pour vous. Ensuite, c’est du soin constant, puis du souci. De la joie aussi â€� enfin j’imagineâ€� Puis un jour, plus rien. Je veux dire : l’un des deux corps disparaît, le regard par lequel on était sans doute attaché l’une à l’autre, la ³¾Ã¨°ù±ð et l’enfant, n’a plus lieu d’être, plus rien à quoi s’accrocher. C’est l’espace qui s’ouvre à la place â€� tout entier. C’est une libération peut être.
Je n’en sais rien en fait.”
Bérengère Cournut, Zizi Cabane

“Pour beaucoup de niais vaniteux que la vie déçoit, la famille reste une institution nécessaire, puisqu’elle met à leur disposition, et comme à portée de la main, un petit nombre d’êtres faibles, que le plus lâche peut effrayer. Car l’impuissance aime refléter son néant dans la souffrance d’autrui.”
Bernanos

Fabien Maréchal
“Tu imaginais déjà ton fiston, une semaine plus tard, cavalant vers tes bras grands ouverts à travers l'aérogare numéro trois. Tu le ferais décoller mieux qu'en Boeing. Il jetterait ses mains autour de ton cou. Peu après, tu sentirais celles de ta compagne - ta compagne : rien que ce mot, tu l'aimais, parfois tu le prononçais pour toi-même, doux, moelleux comme un gros pull d'hiver où il fait bon se pelotonner.
Leur retour, tu en souriais d'avance.
Tu étais parvenu à te créer un petit monde au sein du monde. Une forteresse. C'était cela, ta véritable victoire sur la vie. Personne ne pouvait te prendre ça.
Comment se peut-il, alors, qu'ils ne soient jamais revenus ?”
Fabien Marechal, Plus personne pour aujourd'hui

Jean Giono
“Je me souviens de l'atelier de mon père. Je ne peux pas passer devant l’échoppe d'un cordonnier sans croire que mon père est encore vivant, quelque part dans l'au-delà du monde, assis devant une table de fumée, avec son tablier bleu, son tranchet, ses ligneuls, ses alènes, en train de faire des souliers en cuir d'ange pour quelque dieu à mille pieds.
Jean le bleu.”
Jean Giono, Blue Boy

Mwanandeke Kindembo
“La peur de la polygamie est le début de la ±è²¹³Ü±¹°ù±ð³Ùé.”
Mwanandeke Kindembo

Arnaud Jourdheuil
“Les objets anciens avaient des histoires à raconter, et elle se sentait comme une passeuse, une gardienne de leurs secrets.”
Arnaud JOURDHEUIL, Les murmures de la Toile: Secrets de la Toile

Arnaud Jourdheuil
“Le ±è²¹²õ²õé ne disparaît jamais vraiment, il attend simplement le bon moment pour murmurer ses secrets.”
Arnaud JOURDHEUIL, Les murmures de la Toile: Secrets de la Toile

Arnaud Jourdheuil
“Il est des regards qui vous poursuivent toute une vie, et celui de Clara avait traversé le temps pour trouver Lé”
Arnaud JOURDHEUIL, Les murmures de la Toile: Secrets de la Toile

Arnaud Jourdheuil
“Une toile peut-elle changer un destin ? Ou bien révéler un secret capable de détruire une famille entière ?”
Arnaud JOURDHEUIL, Les murmures de la Toile: Secrets de la Toile